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les parties du discours essentielles et subsidiairesSelon le mode de denomination on distingue les parties du discours essentielles et subsidaires. Les premieres refletent la realite et nomment les choses d’une facon discontinue, independante et directe. Les parties du discours subsidaires designent la realite globalement (interjections, mots-phrases), de facon non-independante ou indirecte. Selon le caractere des objets refletes, on distingue, parmi les parties du discours essentielles, les verbes, les substantifs, les adjectifs, les adverbes et les numeraux, qui expriment respectivement les substances, les processus (actions, etats), les caracteristiques des substances ou des processus et les nombres. On compte 4 classes de mots-outils en francais: determinatifs (article), prepositions, conjonctions, particules. Ainsi on trouve 12 parties du discours en francais (5 – essentielles, 7 – subsidaires). Les mots-outils servent a constituer la forme syntaxique d’un mot autonome, a l’actualiser, a remplacer un terme de proposition, a lier les termes ou les propositions entieres, a exprimer la modalite de la proposition en entier
2) La notion de la catégorie grammaticale en tant qu’unité de la valeur et de la forme grammaticale... représente l’unité de la valeur grammaticale et de la forme grammaticale. La valeur grammaticale se manifeste par l’opposition de deux ou plusieurs significations catégorielles; sur le plan de l’expression elle se reflète, quant à la catégorie morphologique, dans le changement de forme du mot ou, pour les catégories syntaxiques, dans celui de l’ordre des mots, de l’intonation ou dans l’emploi des mots-outils. A la base de toute catégorie grammaticale se trouve une opposition de sens doublée d'une opposition de formes. La binarité est le minimum sémantique d'une catégorie grammaticale, qui peut, cependant, comprendre plusieurs oppositions (catégories ternaires, etc). Par rapport à la réalité extralinguistique, on distingue les catégories sémantiques (subjectives et objectives) reflétant les phénomènes de la réalité, et les catégories non-significatives, asémantiques remplissant uniquement une fonction de structure. Par rapport aux classes de mots, on distingue les catégoriesclassificatoires et modificatoires. Parmi ces dernières, s'opposent les catégories purement grammaticales s'étendant à tous les mots de la même classe, et les catégories lexico-grammaticales qui n'affectent qu'une partie des mots d'une classe. 3. La valeur grammaticale diffère de la valeur lexicale par les traits suivants: a) fonction nominative non-autonome; b) sens abstrait catégoriel; c) extension à une grande série de mots; d) caractère obligatoire pour une classe (ou série) donnée de mots; e) référence constante du mot; f) caractère fermé du système. 4. L'interaction sémantique et fonctionnelle entre le lexique et la grammaire se manifeste par leur interaction proprement dite ou leur compensation réciproque. On y relève notamment: a) restrictions imposées par le lexique à l'emploi des formes grammaticales; b) modification de sens lexical sous l'effet des formes grammaticales; c) grammaticalisation des éléments lexicaux; d) lexicalisation des éléments grammaticaux. La grammaticalisation suit la désémantisation du lexème, celle-ci étant facilitée par le sens large du mot, son emploi transitif ou redondant, par la présence des formes de suppléance. 5. L'aspect formel de la catégorie grammaticale est lié au problème des limites du mot, difficiles à établir en français. Les critères phonétiques, sémantiques, structuro-grammaticaux ne suffisent pas, à eux seuls, à délimiter le mot. D'où les tentatives d'exclure le mot de la description linguistique (Bally, Martinet, etc). Mais le mot reste la notion fondamentale de la science linguistique; il faut seulement faire la distinction entre la forme analytique d'un mot et une combinaison de mots. 6. Sous l'aspect grammatical, il importe de différencier: a) le mot de forme synthétique; b) la forme analytique du mot: mot auxiliaire (ou morphème autonome) + élément de mot indépendant; c) la forme analytique du terme de proposition: mot-outil + mot indépendant; d) la combinaison de deux termes de proposition. 7. Les moyens de l'expression grammaticale en français sont: la flexion y compris la flexion interne, l'agglutination, la suppléance, la flexion détachable (mot auxiliaire). L'environnement et l'emploi des mots-outils sont des procédés d'ordre syntaxique. La flexion en français manque de régularité. Le français emploie beaucoup de formes analytiques. La catégorie grammaticale représente 1 ' unité de la valeur grammaticale et de la forme grammaticale. La valeur grammaticale se manifeste par l'opposition de deux ou plusieurs significations catégorielles; sur le plan de l'expression elle se reflète, quant à la catégorie morphologique, dans le changement de la forme du mot ou, pour les catégories syntaxiques, dans celui de l'ordre des mots, de l'intonation ou dans l'emploi des mots-outils. A la base de toute catégorie grammaticale se trouve une opposition de sens doublée d'une opposition de formes. La binarité est le minimum sémantique d'une catégorie grammaticale, qui peut, cependant, comprendre plusieurs oppositions (catégories ternaires, etc). Par rapport à la réalité extralinguistique, on distingue les catégories sémantiques (subjectives et objectives) reflétant les phénomènes de la réalité, et les catégories non-significatives, asémantiques remplissant uniquement une fonction de structure. Par rapport aux classes de mots, on distingue les catégories clas-sificatoires et modificatoires. Parmi ces dernières, s'opposent les catégories Pllrement grammaticales s'étendant à tous les mots de la même classe, et les catégories lexico-grammaticales qui n'affectent qu'une partie des mots d'une classe. La valeur grammaticale diffère de la valeur lexicale par les traits suivants: a) fonction nominative§ non-autonome; b) sens abstrait catégoriel; c). extension à une grande série de mots; d) caractère obligatoire pour une classe (ou série) donnée de mots; e) référence constante du mot; f) caractère fermé du système. L'interaction sémantique et fonctionnelle entre le lexique et la grammaire se manifeste par leur interaction proprement dite ou leur compensation réciproque. On y relève notamment: a) restrictions imposées par le lexique à l'emploi des formes grammaticales; b) modification de sens lexical sous l'effet des formes grammaticales; c) grammaticalisation des éléments lexicaux; d) lexicalisation des éléments grammaticaux. La grammaticalisation suit la désémantisation du lexème, celle-ci étant facilitée par le sens large du mot, son emploi transitif ou redondant, par la présence des formes de suppléance. L'aspect formel de la catégorie grammaticale est lié au problème des limites du mot, difficiles à établir en français. Les critères phonétiques, sémantiques, structuro-grammaticaux ne suffisent pas, à eux seuls, à délimiter le mot. D'où les tentatives d'exclure le mot de la description linguistique (Bally, Martinet, etc). Mais le mot reste la notion fondamentale de la science linguistique; il faut seulement faire la distinction entre la forme analytique d'un mot et une combinaison de mots. Sous l'aspect grammatical, il importe dé différencier: a) le mot de forme synthétique; b) la forme analytique du mot: mot auxiliaire (ou morphème autonome) + élément de mot indépendant; c) la forme analytique du terme de proposition: mot-outil + mot indépendant; d) la combinaison de deux termes de proposition. Les moyens de l'expression grammaticale en français sont: la flexion, l'agglutination, la suppléance, la flexion détachable (mot auxiliaire). L'environnement et l'emploi des mots-outils sont des procédés d'ordre syntaxique. La flexion en français manque de régularité. Le français emploie beaucoup de formes analytiques. compte du contexte, souligne la pertinence de la pragmatique, qui s'intéresse au rapport entre les énoncés et la situation d'énonciation. En tant qu'énoncé (et non en tant que phrase), «Ces voitures discutent» aurait un sens si on l'emploie à propos d'un dessin animé, par exemple, où les voitures sont anthropomorphes et douées de parole. On relève deux approches principales des faits de grammaire: l'approche mentaliste qui fait appel au contenu sémantique des faits grammaticaux, et l'approche formaliste qui nie la nécessité de tenir compte des facteurs se trouvant au-dehors de la langue elle-même. La méthode formaliste est à la base des grammaires dites formelles (grammaire distributive, grammaire générative), l'approche mentaliste a donné naissance aux grammaires logiques, psychologiques, situationnelles. Vu que les phénomènes linguistiques ne sont pas homogènes, ni les grammaires formelles, ni les grammaires mentalistes ne peuvent à elles seules expliquer les faits grammaticaux de façon adéquate. La grammaire fonctionnelle cherche à éviter les approches unilatérales de celles-ci. Elle étudie les fonctions de chaque forme grammaticale en signalant leur caractère sémantique ou asémantique. L'approche fonctionnelle tient compte de l'asymétrie des formes linguistiques. Dans chaque secteur de la structure de la langue on distingue le noyau et la périphérie. L'asymétrie fonctionnelle consiste en ce qu'une même forme grammaticale peut avoir plusieurs fonctions différentes. On peut distinguer les types de fonctions suivants: 1) fonction primaire significative, qui se manifeste dans l'opposition; elle détermine la place paradigmatique de la forme et se réalise dans le contexte minimal; 2) fonctions secondaires - a) fonction de neutralisation (lorsque la forme a un sens généralisant); b) fonction sémantique de transposition qui consiste à conférer à une forme la fonction d'un autre terme du même paradigme; c) fonction secondaire non-significative. Les fonctions secondaires se réalisent dans des contextes appropriés. Les éléments linguistiques sont réunis par des rapports syntag-matiques et paradigmatiques qui constituent la base de différentes méthodes d'analyse grammaticale: distributive, transformationnelle, componentielle, contextuelle, A ces quatre méthodes qualitatives s'ajoute la méthode quantitative, statistique 4) les notions énoncé et énonciations... Dans la théorie générale de l’énonciation on distingue les notions de l’énoneÿ (comme produit de l’acte de langage) et de l’énonciation (procès de la formation ilo l’énoncé). C’est Ch.Bally qui a développé le premier la théorie générale de l’énoncé en tant que l’unité actualisée de langage. C’est lui qui a développé la théorie de dictum (ce qui est dit) et de modus (la manière de le dire) ainsi que la théorie de la division actuelle de la proposition (distinction de thème/rhème). La suite de la théorie de l’énoncé est le développement des thèses annoncées par Ch.Bally. La distinction «le dictum» et «le modus» consiste à opposer le sens de l’énoncé à l’attitude que le locuteur marque à l’égard de son dire. Diversement interprétée, notamment dans le cadre de la philosophie du langage anglo-saxonne, le couple dictum-modus connaît un analogue théorique dans l’opposition, admise pui J.Searle, entre le contenu propositionnel d’un énoncé et l’attitude propositionnclle qui lui est attachée. Plus anciennement, c’est à Austin que la théorie du langage doil l’analyse d’un énoncé en valeur locutoire (ce qui est dit) et force ou valeur illocutoire (ce qui est fait en disant). Quelles que soient les formulations de ce parallèle, les termes initiaux de dictum et de modus recouvrent respectivement le contenu sémantique de l’énoncé et sa dimension pragmatique. E.Benveniste, l’un des théoriciens de l’énonciation en France, définit «énonciation» comme l’usage de la langue dans les actes de langage concrets. Il attire une grande attention au rôle du sujet parlant lui-même dans l’acte de langage, à son attitude envers le destinataire de langage ainsi qu’à son attitude envers l’énoncé. Le rôle du sujet parlant détermine l’importance de l’axe «moi-ici-maintenant» pour l’organisation de l’énoncé et la sélection des formes de langue. En effet, lorsqu’un locuteur produit un énoncé, il peut le situer par rapport à la situation d’énonciation, c’est-à-dire par rapport à trois coordonnées: sa personne, le lieu où il se trouve et le moment où il parle (moi, ici, maintenant). Dans «Je trouve qu 'il fait chaud ici aujourd’hui» la grammaire peut donner la fonction de je, de ici et de aujourd’hui. Mais elle est impuissante à indiquer le référent de ces trois mots. En effet, ces éléments ne peuvent être identifiés que par rapport à la situation dans laquelle ils sont prononcés. Le temps présent employé ici renvoie au présent de la situation d’énonciation. J.Dubois a remarqué quatre paramètres du processus de l’énonciation: distance;modalisation;transparence;tension. Ils permettent d’expliciter ce que sont les positions du sujet parlant par rapport à son interlocuteur (locuteur > interlocuteur), à lui-même (locuteur > locuteur) et à son propos (locuteur > propos). La «distance» en tant qu’une des catégories qui caractérisent le sujet parlant est considérée comme un degré de l’intérêt manifesté par le locuteur face à son énoncé. Autrement dit, la distance permet d’envisager le procès d’énonciation du point de vue de l’attitude du locuteur par rapport à ce qu’il dit: le procès sera décrit comme une distance relative que le sujet met entre son énoncé et lui-même. La «modalisation» c’est un terme très général puisqu’il se définit comme la marque donnée par le sujet à son énoncé; en fait, il faut préciser qu’il s’agit plutôt de l’adhésion du locuteur à son propre discours. Suivant D.Maingueneau, c’est une courbe continue que l’interlocuteur doit interpréter: le locuteur tient-il ou non à ce qu’il dit? Cette adhésion se déplace évidemment sur une échelle continue et varie au long du discours. C’est bien souvent l’intonation qui porte l’essentiel du poids de la modalisation. Mais il y a encore beaucoup d’autres modalisateurs facilement répérables qui participent à cette modalisation (par exemple, certains adverbes comme peut-être, évidemment, etc.). La «transparence» se rapporte aux catégories qui sont orientées vers le récepteur. Elles sont très importantes, ces catégories, car elles jouent un rôle considérable dans l’organisation de l’énonciation. Durant la communication le sujet parlant tient compte de l’allocutaire et construit son énonciation ainsi que l’interlocuteur puisse comprendre le sens communicatif et réagir d’une manière convenable. La «transparence» est interprétée comme le niveau de l’accessibilité de l’information pour le public. Dans le cas de la «transparence», l’ambiguïté du texte est totalement. levé par le transfert du sujet d’énonciation du locuteur sur le récepteur: le réceplcm s’identifie au sujet d’énonciation qui s’efface. D.Maingueneau signale que la tension regarde la relation qui s’établit entre It locuteur et l’allocutaire, le texte étant considéré comme médiateur d’un désir ilu locuteur, tentative de saisie de l’allocutaire. Comment repérer une telle «tension» V l’m l’étude du verbe surtout, temps, aspects, modes en particulier, des verbes «avoli ■ et «être», d’une part, et des auxiliaires modaux (pouvoir, vouloir, devoir), d’iiiilii part. Certains auteurs utilisent le terme de «performatif» pour désigner des vcrl»*••• essayant d’imposer un comportement déterminé à l’auditoire, de provoquer une action et qui usent du futur, de l’impératif, du subjonctif ou de modaux du type «devnli falloir». Les textes politiques fournissent d’innombrables exemples de discoum «tendu» («il nous faut dès maintenant nous unir dans la lutte contre l’inflation ri lu dépréciation du franc. J'entends mobiliser l’énergie du pays...L’homme doit nwh'i maître des conquêtes de la science... Nous pouvons tous ensemble affermir l'nnih nationale...»). Il n’est pas indifférent de constater que le verbe «devoir» ne peul fin considéré comme un facteur de tension que s’il indique une nécessité. Dans ce i un comme le dit D.Maingueneau, la prise en charge de l’énoncé par le locuteur ■.1 maximale, le verbe analysé apparaît plutôt avec les pronoms «je» et «tu», lu. quantificateurs absolus «partout, tout, toujours, etc.», le futur, les adverbes indiqniini une date précise, etc. En revanche, «devoir», indiquant une probabilité est davantnu* lié à la non-personne, à l’aspect accompli Dans les œuvres de Ducrot O. on analyse une partie importante du langngi’ rôle de présupposition dans l’organisation de l’énoncé (c’est-à-dire de l’ensemble iIcm connaissances communes aux interlocuteurs et antérieures à l’acte de parole), Im problèmes de l’économie et de la redondance des moyens de l’expression, l’emploi ilt 1 «mots de langage» qui servent pour l’argumentation et la conclusion Tout message produit à l’aide du langage est un énoncé, ou texte si on donne un sens très large à ce mot. Enoncer, c’est «dire»! Les énoncés ou textes sont donc très nombreux et variés, oraux ou écrits et plus ou moins longs La notion d’énonciation a été crée par Emile Benveniste. Il va être le point de départ des théories de l’énonciation. a) Les modalités de l’énonciation Les types des énoncés On distingue des énoncés stables et instables, dépendents et indépendants de l’environnement, de style écrite et parlé. On associe écriture et stabilité. L’important est la transcription. la versification joue un role important (slogans – Coca cola, c’est ca). Les enonciateur des enonces dependants de l’environnement sont sous la menace de co-enonciateur quipartage le meme environnement par: les indicateur non-verbaux, les ellipses (t’as vu?), embrayeurs (je, ici, demain). Les enonces independants de l’environnement ne s’appuient pas sur un environnement partage avec coenonciateur. Les types d’énonciation Ïîèñê ïî ñàéòó: |
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