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ÀâòîÀâòîìàòèçàöèÿÀðõèòåêòóðàÀñòðîíîìèÿÀóäèòÁèîëîãèÿÁóõãàëòåðèÿÂîåííîå äåëîÃåíåòèêàÃåîãðàôèÿÃåîëîãèÿÃîñóäàðñòâîÄîìÄðóãîåÆóðíàëèñòèêà è ÑÌÈÈçîáðåòàòåëüñòâîÈíîñòðàííûå ÿçûêèÈíôîðìàòèêàÈñêóññòâîÈñòîðèÿÊîìïüþòåðûÊóëèíàðèÿÊóëüòóðàËåêñèêîëîãèÿËèòåðàòóðàËîãèêàÌàðêåòèíãÌàòåìàòèêàÌàøèíîñòðîåíèåÌåäèöèíàÌåíåäæìåíòÌåòàëëû è ÑâàðêàÌåõàíèêàÌóçûêàÍàñåëåíèåÎáðàçîâàíèåÎõðàíà áåçîïàñíîñòè æèçíèÎõðàíà ÒðóäàÏåäàãîãèêàÏîëèòèêàÏðàâîÏðèáîðîñòðîåíèåÏðîãðàììèðîâàíèåÏðîèçâîäñòâîÏðîìûøëåííîñòüÏñèõîëîãèÿÐàäèîÐåãèëèÿÑâÿçüÑîöèîëîãèÿÑïîðòÑòàíäàðòèçàöèÿÑòðîèòåëüñòâîÒåõíîëîãèèÒîðãîâëÿÒóðèçìÔèçèêàÔèçèîëîãèÿÔèëîñîôèÿÔèíàíñûÕèìèÿÕîçÿéñòâîÖåííîîáðàçîâàíèå×åð÷åíèåÝêîëîãèÿÝêîíîìåòðèêàÝêîíîìèêàÝëåêòðîíèêàÞðèñïóíäåíêöèÿ |
Æåíñêèé ðîä ñóùåñòâèòåëüíûõÁîëüøèíñòâî ñóùåñòâèòåëüíûõ, îáîçíà÷àþùèõ æèâûõ ñóùåñòâ, èìåþò äâå ôîðìû: ìóæñêîé è æåíñêèé ðîä. Ðàçëè÷àåòñÿ íåñêîëüêî ñïîñîáîâ îáðàçîâàíèÿ æåíñêîãî ðîäà ñóùåñòâèòåëüíûõ: 1) ñóùåñòâèòåëüíîå íå èçìåíÿåòñÿ, ðîä îáîçíà÷àåòñÿ äåòåðìèíàòèâîì: un élève — une élève; 2) ñóùåñòâèòåëüíîå, îêàí÷èâàþùååñÿ íà íåïðîèçíîñèìóþ ñîãëàñíóþ, ïðèíèìàåò "å" â æåíñêîì ðîäå è íåïðîèçíîñèìàÿ ñîãëàñíàÿ ñòàíîâèòñÿ ïðîèçíîñèìîé: un étudiant — une étudiante; 3) ñóôôèêñû ìóæñêîãî ðîäà ìåíÿþòñÿ íà ñóôôèêñû æåíñêîãî ðîäà: un écolier — une écolière, un étranger — une étrangère, un veuf — une veuve, un patron — une patronne, un mathématicien — une mathématicienne; Ñóùåñòâèòåëüíûå, îêàí÷èâàþùèåñÿ íà -in, -ain, -an, íå óäâàèâàþò "n" â æåíñêîì ðîäå: un voisin — un voisine, un Américain — une Américaine, un Persan — une Persane Ho: un paysan — une paysanne, un acheteur — une acheteuse (-eur — -euse), le directeur — la directrice (-teur — -trice}. Îñîáûå ñëó÷àè: un empereur — une impératrice, un chanteur — une cantatrice (íàðÿäó ñ chanteuse). Íåêîòîðûå ñóùåñòâèòåëüíûå íà "å" èìåþò â æåíñêîì ðîäå ñóôôèêñ -esse: un maître — une maîtresse, un poète — une poétesse Ðÿä ñóùåñòâèòåëüíûõ èìåþò îñîáóþ ôîðìó æåíñêîãî ðîäà: un père — une mère, un oncle—une tante, un neveu — une nièce, un vieillard — une vieille, un héros — une héroïne, un tsar — une tsarine, un copain — une copine Ê ýòîìó ñëó÷àþ îòíîñÿòñÿ íàçâàíèÿ æèâîòíûõ: un loup — une louve, un coq — une poule, un boeuf — une vache, un bouc — une chèvre, un mouton — une brebis, un porc — une laie
9. Faites des exercices par écrit: I. Remplacez les points par un article contracté: 1. Habitez-vous loin... centre... la ville? 2. Les rayons... soleil éclairent la pièce. 3. Il ne fait pas si chaud à l'ombre... l'arbre. 4. Au coin... la rue il y a un kiosque. 5. Les rues... centre... la ville sont très animées. 6. La clé... tiroir est dans ma poche. 7. Les balcons... maisons sont en fleurs. 8. Les quais... la Neva sont beaux. 9. Le maître... école fait l'analyse... la composition. 10. Mon frère rentre tard... bureau. II. Traduisez du russe en français:: 1. Óòðîì ÿ èäó â øêîëó, à ìîÿ ñåñòðà â óíèâåðñèòåò. 2. Ñòóäåíòû ïîêàçûâàþò ïðåïîäàâàòåëþ ñâîå çàäàíèå. 3. Îíà ñîîáùàåò Æàíó ïðèÿòíóþ íîâîñòü. 4. Ìîé îòåö âîçâðàùàåòñÿ äîìîé â âîñåìü ÷àñîâ. 5. Ó÷èòåëü îáúÿñíÿåò ó÷åíèêàì íîâîå ïðàâèëî. 6. Ìîé áðàò ÷àñòî õîäèò â êèíî. 7. Ìîè äðóçüÿ èäóò ñåãîäíÿ â òåàòð. 8. Êàæäûé âå÷åð ìîÿ ñåñòðà îòïðàâëÿåòñÿ â áèáëèîòåêó. III. Employez l’article qui convient: 1. Prenez-vous... thé ou... café le matin? 2. Cet acteur a toujours... succès. 3. Donnez-moi un morceau... pain avec... beurre. 4.... pain est frais.5. Vous trouverez... papier et... encre sur la table. 6. La femme met... viande dans la casserole.7. Attendez une minute, je vais vous faire... café que vous prendrez avec... lait. 8. As-tu... argent pour acheter ce livre? 9. Voici... sel, voilà... moutarde.10. Dans les moments les plus difficiles de sa vie, elle a toujours montré... courage et... dignité. 11. Achetez... pain, je vous prie. IV. Formez les groupes de mots avec les expressions «un peu de», et «beaucoup de»: salade, tomates, soupe, poisson, argent, patience, bonté, café, bière, alcool V. Dites que vous avez besoin de: argent, eau minérale, légumes, fruits, aide, viande, pain VI. Mettez à la forme négative: 1. Aujourd'hui j'ai de l'argent. 2. Je prends du café au lait et du pain beurré. 3. Il aime le jus d’orange. 4. J'aime le café noir et le thé fort. 5. Le pain coûte cher. 6. Servez-moi du rôti de veau. 7. Vous pouvez boire de l'eau minérale ou de la bière. 8. Elle a du caractère. 9. J'ai de l'estime pour cette personne. VII. Mettez 1' article qui manque ou la préposition de: 1. Hier nous avons mangé... très bon dîner: on nous a servi... hors d'oeuvres variés,... viande avec... légumes et... sauce, nous avons commandé... champagne. Mais nous n'avons pas bu... alcool. 2. Aimes-tu... fruits? Bien sûr. Je peux manger... fruits à tout moment de la journée. 3. Ï faut manger beaucoup... fruits et... légumes. 4. Les petits enfants ont besoin... lait. 5.... sucre et... sel sont nuisibles pour la santé. 6. Si vous n'êtes pas gravement malade, ne prenez pas... médicaments. 7. Cette Jeune fille a... caractère très fort. 8. Pour ce genre de sport il faut avoir... adresse. 9. Les personnes qui ont choisi la carrière de pédagogue doivent avoir... patience et... bonté. 10. Cet homme avait... qualités qui lui ont permis de surmonter toutes les difficultés. VIII. Mettez au féminin les noms suivants: a ) un gamin, le marchand, le gardien, un caissier, un ouvrier, un sot, l’hôte, un manchot, le mercier, un ami, le Sultan, un citoyen, un prince, un expéditeur, un faisan, un candidat, un rat, un Chinois, un Algérien, un Marocain, un Espagnol, un Persan; b) le berger, un receveur, le voisin, un électeur, un nageur, le patron, le fermier, un vendangeur, le tigre, un fripon, le maître, un acteur, l'ogre, un cuisinier, un chanteur, un comte, un ours, le pharmacien, un fondateur, le marquis, le baron, un druide. IX. Ecrivez le féminin: a) le camarade, le voisin, l'ami, le boulanger, l'époux, le marchand, l'ouvrier, l'étudiant, l'étranger, le boucher, l'élève, le veuf, l'orphelin, le loup, le cousin, le bourgeois, le Russe, le Français, l'Anglais; b) le paysan, le chat, le citoyen, le patron, le tigre, le vendeur, le spectateur, le duc, l'hôte, le chien, l'instituteur, le lion, le nègre, le comédien, le musicien, le comte, le lecteur, le danseur, le directeur, le traducteur. X. Ecrivez le féminin des noms donnés en choisissant les formes correspondantes ci-dessous: Exemple: le garçon — la petite fille le garçon, le mouton, l'homme, le coq, le bœuf, le bouc, le roi, l'oncle, le père, le frère, le fils, le neveu. (la petite fille, la poule, la femme, la brebis, la tante, la sœur, la chèvre, la reine, la vache, la fille, la mère)
XI. Mettez au féminin les noms entre parenthèses. Traduisez les phrases en russe: a) 1. Elle n'est pas (Parisien), ni même (Français), mais elle parle couramment la langue du pays. 2. L'enfant cache le visage dans le tablier blanc de la (cuisinier). 3. Tout à coup on frappe à la porte. C'est la (voisin). 4. Ma mère est une (musicien) de talent. 5. Cette (acteur) joue très bien son rôle. 6. La sœur aînée est devenue la (maître) de la maison 7. Elle est (instituteur) dans notre école. 8. Connaissez-vous ma (neveu)? 9. C'est la meilleure (ouvrier) de la fabrique. b) 1. (L'instituteur) avait essayé de persuader la mère de Martine (E. Triolet). 2. Madame Gauthier Lenoir était du reste une (époux) fidèle (M. Aymé). 3. Tous les mois Mme Donzert se reridait à Paris, elle restait coucher chez sa (cousin) (E. Triî1et). 4. La (bohémien) lui dit quelques mots dans une langue à moi inconnue (P. Mérimée). 5. Je priai la jolie (sorcier) de me permettre de l'accompagner à son domicile (P. Mérimée). 6. Marguerite est notre (voisin), une (couturier) (G. Duhamel). X. Remplacez les points par un des noms cités ci-dessous, en faisant attention au genre: un manche — une manche; un livre — une livre; un voile — une voile; un poêle — une poêle; un vase — une vase 1. Il tira sa sœur par...-. 2.... du couteau était en bois. 3. On voyait... à l'horizon. 4.... épais lui cachait le visage. 5. Dans cette bibliothèque il y a vingt mille.... 6. Cet homme avait vingt mille... de rente. 7. Le grand-père s'est assis près du... pour se chauffer. 8. La femme met... sur le feu. 9. Un admirable... étrusque ornait la cheminée. 10.... épaisse couvrait le fond de l'étang.
10. Faites les devoirs du test et corrigez-vous vous-même. 1. Notre Université possède plusieurs bâtiments qui comprennent ________, des laboratoires, des centres de calcul, des bibliothèques. a) des salles de bain b) des salles d'attente c) des salles d'études 2. L'année d'études est divisée en ________. a) horaire des cours b) deux trimestres c) deux semestres 3. Notre horaire des cours est très ________. a) compliqué b) différent c) etudié 4. A la fin de chaque semestre on passe des examens et des ________. a) sessions b) recherches c) épreuves 5. On enseigne à l’Université trois langues étrangères, ce sont: ________, l’anglais et le français. a) l’allemand b) le portugais c) l’ukrainien 6. Je ________ à l’Université d’Etat de Toula. a) fais mes études b) enseigne c) fais une promenade 7. Nous avons quatre ________ par jour. a) cours b) examens c) semestres 8. Pendant les premières années on étudie des ________communes: les mathématiques, la physique, la chimie. a) professions b) matières c) problèmes 9. Pendant les cours de français nous lisons et traduisons des ________ techniques et scientifiques. a) vers b) contes c) textes 10. Il existe la session ________ et la session d’hiver. a) d’été b) d’hiver c) du printemps 11. Il avalait des morceaux ________ pain sans les mâcher. a) du b) de c) de la 12. Attendez une minute, je vais vous faire_______café. a) de b) du c) des 13. Passez-moi un peu_______pain, je vous en prie. a) du b) de c) de la 14. Aujourd’hui j’ai beaucoup _______ choses à faire. a) de b) des c) du 15. Françoise Sagan est ___ écrivain célèbre. a) un b) une c) - 16. Ma copine a été élue "___ flûtiste de l 'année" deux années de suite. a) meilleur b) meilleure c) meillère a) professeur b) professeure c) professoresse a) ami b) amie c) amis a) un enfant b) une enfant c) une enfante a) une parente b) un parent c) une parent 21. La ___ du dessous était très irritable, elle nous grondait après le moindre bruit. a) voisine b) voisin c) voisinesse a) orphelin b) orphelinne c) orpheline a) lione b) lionne c) lion a) actrice b) acteure c) actrisse a) directeuse b) directeur c) directrice a) copain b) copine c) copaine a) sportive, championne b) sportive, champion c) sportife, championne a) étudiant chinoise b) étudiante chinoise c) étudiante chinois a) employée, infirmière b) employé, infirmière c) employée, infirmier a) épiciere, pâtissiere b) épicière, pâtissière c) épicier, pâtissier
Chapitre 3 Conversation: VIE ESTUDIANTINE Audition/phonétique/parole: UNE LEÇON DE FRANÇAIS. dialogues Grammaire: Present de l’indicatif Lecture/comptes rendus: Le choix de profession Lecture/traduction: L'université de Moscou
1. Lisez le texte: VIE ESTUDIANTINE Une semaine à l’Université, à quoi cela ressemble-t-il? Glissons-nous dans la peau d’un étudiant à temps plein… L’Université n’est pas seulement un lieu d’études et de formation, c’est aussi un lieu de vie, qu’on y soit de passage pour un cours ponctuel ou plus régulièrement en cours du jour. Tu ne seras donc pas étonné si l’une des pièces les plus importantes dans nos locaux est la salle des étudiants, lieu de rencontre, de conversation, d’information et où l’on prend ses repas. Soyons plus précis: quelle est une semaine type à l’Université? La semaine d’études commence le lundi à 7h.45 Les deux premières heures de cours, avec une pause de 5 minutes entre les deux, sont suivies par une pause plus longue (20 minutes) qui permet d’aller prendre une boisson chaude au cafétéria et de continuer des conversations. Après deux autres heures de cours vient la pause du déjeuner. En général les étudiants vont s’acheter un sandwich ou apportent eux-mêmes leurs tartines et viennent les manger ensemble dans la salle d’études. Des cours se succèdent à nouveau l’après-midi jusqu’à 17h. Libre à toi de rester ensuite pour étudier dans la bibliothèque jusqu’à ce que le personnel de permanence ferme les bureaux. La bibliothèque de l’Université comporte plusieurs milliers de volumes répartis dans plusieurs salles dont quatre munies de bureaux de travail. C’est une bibliothèque de référence, c'est-à-dire que les livres et les revues ne peuvent être empruntés et que l’achat des ouvrages se fait en partie en fonction des cours donnés à l’Université. N’hésite pas à consulter les nouveautés sur les présentoirs de la salle des étudiants. Tu te rendras compte que le fonds de la bibliothèque de l’Université n’est pas suffisant pour certains travaux de recherche; mais avec ta carte d’étudiant tu as en principe accès à de nombreuses bibliothèques. Après les cours (et avant 18h), pourquoi ne pas aller à la séance du club «Lingua», à la rencontre avec des hommes renommés ou bien à la discussion de la politique internationale dans laquelle les étudiants se poursuivent à un échange de vues sur les questions à l’ordre du jour en élargissant leurs horizons intellectuels et en apprenant quelque chose de nouveau. On peut réaliser son talent d’organisateur en participant aux travaux du self-gouvernement estudiantin de votre faculté qui comprend 6 sections – celles de l’enseignement, de la science, de la culture de masse, de l’information, du logement et du travail, du sport. Les étudiants choisissent le Chef du self-gouvernement estudiantin par voie des élections. Les buts principaux du self-gouvernement sont: - le développement du self-gouvernement estudiantin; - l’élévation de l’efficacité de l’interaction des étudiants avec l’administration de la Faculté et de l’Université; - la protection des intérêts d’étudiants en ce qui concerne l’éducation, l’organisation de loisir, l’assurance des conditions sociales et matérielles; - l’élévation de l’activité sociale, de la responsabilité de la discipline des étudiants.
2. Répondez aux questions sur le texte: 1. L’Université – qu’est-ce que c’est pour vous? 2. A quelle heure commencent les cours? 3. Quel est votre horaire des cours? 4. Où prenez-vous votre repas? 5. Que faites-vous après les cours? 6. Prenez-vous part au travail des clubs? 7. Etes-vous content de votre vie estudiantine?
3. Lisez le texte et råmplissez les lacunes par les mots ci-dessous: Le choix de profession
A la fin des _____les jeunes gens entrent dans la vie des adultes, dans la vie indépendante. Ils ont la possibilité de travailler, d'organiser leur propre entreprise ou de poursuivre leurs études pour recevoir les diplômes des études______. Presque dans toutes les villes de notre pays une ou quelques universités fonctionnent. A Moscou et à Saint-Pétersbourg il y en a plusieurs. Si vous voulez avoir un métier vous pouvez aller dans une école professionnelle. Il est assez difficile de choisir et de se décider pour telle ou telle profession, surtout qu'il y en a plus de 2000 différentes. Parmi les jeunes les uns font leur propre choix, tandis que d'autres suivent les conseils de leurs parents. Je me demandais plusieurs fois: "Qu'est-ce que je voudrais faire après _____?" Il y a quelques ans je doutais fort en répondant à cette question. Avec le temps mes préférences pour les professions évoluaient, je ne savais pas dans quel domaine je voudrais être spécialiste. C'était compliqué de trouver une ______ qui me correspondrait plus que les autres. Mais quels sont les critères essentiels pour le choix de votre future profession? Avant tout elle doit vous intéresser. Une occupation que vous aimez bien est une des composantes de la vie heureuse. Il ne faut pas surtout oublier qu'il est nécessaire de gagner sa vie. Le travail formidable ne serait pas satisfaisant pour vous si vous avez faim. De plus ______ devez vous rendre compte des problèmes actuels du chômage et votre choix doit vous permettre d'être plus ou moins facilement embauché. Il y a deux ans je voulais devenir médecin. Cette profession me paraissait très noble. En huitième et en neuvième j'étais fort en biologie et chimie. Je voulais aider les gens qui avaient des problèmes de santé. Je savais bien qu'il _____ être généreux dans la vie et dans le travail, brave et attentif envers les gens, responsable et raisonnable, honnête et prudent pour devenir médecin. Un médecin égoïste et non honnête ne peut pas être un bon spécialiste. Je travaillais beaucoup pour développer les traits positifs de mon caractère. Aujourd'hui la décision est prise et je sais bien ce que je veux faire. Je voudrais devenir professeur. Je sais que cela est assez difficile. Il faut connaître parfaitement la matière, être cultivé et informé. Un professeur ignorant enseigne l'ignorance, un professeur craintif enseigne la crainte, un professeur qui s'ennuie apprend à ses élèves l'ennui. En même temps un professeur passionné développe chez ses élèves l'envie de nouvelles ________ et l'intérêt pour la vérité et beauté. Selon John Steinbeck, par exemple, un bon professeur est comme un grand artiste et vous savez que les grands artistes ne sont pas très nombreux. L'enseignement est, peut être, un des plus grands arts. L'éducation des enfants est une grande responsabilité. Je crois que c'est justement pour cela que les professeurs sont tellement respectés. Pour la plupart des gens il est évident que toute personne cultivée doit savoir parler au moins une langue_______. Voilà pourquoi je veux devenir professeur de français. J'ai adoré le français dès le début de mes études et c'est un de mes cours préférés jusqu'aujourd'hui. Les écrivains français sont connus dans le monde entier grâce à leurs œuvres passionnantes et intéressantes. Pendant les cours de la littérature on lisait en russe les œuvres de Balzac et des autres écrivains de la France. Je voudrais les lire mais déjà en français. C'est pour cela que je vais tenter d'entrer à l'Université à la faculté des langues étrangères. Les études universitaires en Russie ______cinq ans. Après les examens de la fin d'études vous recevez un diplôme qui vous permet de travailler comme professeur de français ou comme interprète. Les études universitaires sont profondes et variées. Certains étudiants deviennent boursiers de thèse en poursuivant une carrière scientifique. "La plupart des promus de l'Université deviennent professeurs et rentrent à l'école. Je sais très bien que le travail de professeur est assez compliqué. Aucun professeur ne peut dire qu'il sait tout dans son domaine. Il fait des recherches liées à sa matière tout le long de son travail pour pouvoir répondre à toute question posée par ses élèves. Il doit être exemple de la compétence. l'école, durent, études, vous, connaissances, étrangère, supérieures, profession, faut 4. Répondez aux questions: 1. Quel problème subissent les jeunes gens quand il entrent dans la vie adulte? 2. Quels sont les critères essentiels pour le choix de votre future profession? 3. Comment avez-vous choisi votre profession? 4. Qu’est-ce qui vous attire dans la profession que vous avez choisie? 5. Que faut-il faire pour apprendre un métier? 5. Faites le plan du texte et son résumé. 6. Lisez et traduisez le texte en vous servant du dictionnaire. Ajoutez des mots nouveaux dans le vocabulaire sur le sujet de conversation “Mes études” L'université de Moscou On considère à juste titre l'Université de Moscou comme la plus ancienne université russe. Elle fut fondée en 1755. La fondation d'une université à Moscou devint possible grâce à l'activité de Mikhaïl Vasilievitch Lomonossov (1711-1765), savant éminent et premier académicien russe. En 1940, lors de la célébration de son 185-e anniversaire, l'Université reçut le nom de Lomonossov. Selon le plan de M. V. Lomonossov trois facultés furent ouvertes au sein de l'Université de Moscou: celles de Philosophie, celle de Droit et celle de Médecine. Tous les étudiants commençaient leurs études à la faculté de Philosophie où ils recevaient une première formation ès sciences naturelles et humaines. Ils pouvaient par la suite continuer leurs études dans cette même faculté ou bien se diriger vers une des deux autres. A la différence des universités européennes, celle de Moscou n'avait pas de faculté de Théologie, ce qui s'expliquait par l'existence en Russie d'un système d'enseignement spécifique de l'Eglise orthodoxe. Les professeurs donnaient des cours non seulement en latin, qui était alors la langue scientifique universellement reconnue, mais aussi en russe. L'Université de Moscou se distinguait par un corps de professeurs et d’étudiants aux idées démocratiques. Cela assura une large propagation des idées sociales et progressives de l’époque. Il figurait en effet dans le préambule du décret impérial de la fondation de l'Université que celle-ci était destinée à "la formation générale des roturiers". Quelle que soit son origine, sauf pour les serfs, on pouvait entrer à l'Université. M. V. Lomonossov s'en rapportait à l'expérience des universités européennes, où l'on élimina le principe des ordres de la société: "A l'Université, le plus respecté est celui qui est devenu le plus savant, peu importe de quelle famille il est issu". Pendant la seconde moitié du XVIIIème siècle, de tous les 26 professeurs qui donnaient des cours seulement trois furent représentants de l'ordre de la noblesse. Au XVIIIème siècle les roturiers constituaient également la majeure partie des étudiants, et les plus doués étaient envoyés dans des Universités étrangères afin d’affermir les relations avec la science mondiale. L'Université jouait un rôle considérable dans la propagation et la popularisation des connaissances scientifiques. Des auditeurs libres pouvaient assister aux cours. En avril 1756 une imprimerie et une librairie furent ouvertes près de l'Université, dans la rue Mokhovaïa. Ce fut la première pierre de l'industrie du livre en Russie. A cette même époque l'Université commença à éditer deux fois par semaine "Les Vedomosti de Moscou", le premier journal non-gouvernemental du pays, et depuis janvier 1760 elle éditait "Le Poleznoe Uveselenie", la première revue littéraire de Moscou. Pendant 10 ans, de 1779 jusqu'en 1789, l'imprimerie fut dirigée par N. I. Novikov, pupille du gymnase universitaire et éminent savant russe. Un an après la fondation de l'Université, la bibliothèque universitaire put accueillir ses premiers lecteurs. Pendant plus de 100 ans elle demeura la seule bibliothèque ouverte à tous de Moscou. Le XIX siècle fut marqué par la formation de groupes d’intérêts scientifiques auprès de l’Université, tels que: la Société naturaliste, la Société de l’Histoire et des antiquités russes et la Société des Connaisseurs de la littérature. Dans la première moitié du XX siècle, l’Université de Moscou était au centre de la vie sociale de la Russie. Parmi ses pupilles il y avait beaucoup de membres d’organisations décabristes. Une tradition de libre pensée avait été adoptée par les cercles estudiantins. A l’époque pré-révolutionnaire, les professeurs de l’Université de Moscou contribuèrent beaucoup à la prolifération dans les écoles en rédigeant des manuels scolaires, et bon nombre d’étudiants y travaillaient comme enseignant d’élite. Le tourbillon révolutionnaire souffla à travers la Russie en1917 a laissé une trace contrastée dans le destin de l`école supérieure.D’un coté elle a subi une profonde démocratisation. Les frais d`éducation furent abolis, les étudiants eurent des bourses d`Etat, car depuis 1919 l`université était financé par l`Etat. Pour assurer les connaissances nécessaires aux étudiants issus de la classe ouvrière et paysanne, depuis 1919 jusqu`en 1936 l`université organisa des cours préparatoires. Pendant la première décennie qui suivit la Révolution ce sont des savants mondialement connus qui assurèrent les cours comme D.Anoutchine, N. Joukovski, N. Zelinski, A. Severtsov, K. Timiryazev, S. Tchaplygine, etc. La Grande guerre nationale de 1941-45 fut une rude épreuve pour tous les Russes sans exclure les étudiants et les professeurs de l’Université. Les premiers officiers et les officiers politiques partirent au front le 25 juin 1941, quelques jours après le début des hostilités. Il y eut beaucoup de bénévoles qui firent preuve d’un héroisme exeptionnel. Pendant les 4 années de guerre l’Université forma plus de 3 000 spécialistes, et les chercheurs contribuèrent au développement économique du pays et à son industrie de défense: on développa la construction des avions et le système de pilotage des navires et on perfectionna le système de tir, le systeme de réajustement automatique de l’heure pour la totalité du pays fut perfectionné; on inventa de nouveaux explosifs; on commença à utiliser la «trombine» qui accélère la coagulation du sang; on débuta les études sur les capacités de l’Uranium; on découvrit un grand gisement de wolfram en Asie Centrale qui devient vite «un autre Bakou»; les géographes fournirent à l’Armée Rouge le nombre nécessaire des cartes géographiques... Le renouveau de l’après-guerre exigea le perfectionnement de l’enseignement à l’Université. On a vu se consolider sa base financière (son budjet sera cinq fois supérieur à celui de l’avant-guerre), la construction de nouveaux bâtiments, l’ouverture de nouveaux laboratoires munis de matériel moderne. Un nouveau complexe de bâtiments d’études ouvrit ses portes le 1 septembre 1953 pour accueillir de nouveaux étudiants. Dans les années 50, avec la démocratisation de la vie, les contacts avec l’étranger de l’Université s’élargissent et le spectre des recherches devient plus grand et plus varié. On créa de nouveaux centres de recherches communs a plusieurs facultés, notamment le très efficace Centre de recherche en informatique. On vit apparaître de nouvelles facultés: l’Institut des Langues orientales (des 1972 il s’appella l’Institut des Pays d’Asie et d’Afrique de l’Université de Moscou), la Faculté de Psychologie, celle de Mathématique Appliquée et de Cybernetique et pour la première fois dans le pays une Faculté de Pédologie. Le nombre total des étudiants (sans compter ceux qui faisaient leurs études le soir ou par correspondance) passa de 13 000 en 1953 à 31 000 en 2001. Actuellement, l’Université de Moscou est un grand centre de formation des étudiants et de boursiers de thèse russes et étrangers. Pour les étudiants étrangers, en 1952, on créa une Ecole préparatoire, l’une des premières dans le pays, aujourd’hui le Centre de d’Enseignement aux étudiants étrangers. Actuellement, l`Université Lomonossov (dite MGU:Université d'Etat de Moscou) est un des centres principaux de l`instruction, de la science et de la culture nationale. Un niveau d’éducation élevé pour les cadres supérieurs, la recherche de la vérité scientifique, l`orientation vers les idéaux humanistes de la justice et de la liberté, voilà la tradition universitaire qu’elle se propose de continuer. L`Université Lomonossov est l'une des plus grandes universités classiques de la Fédération de Russie et a de ce fait une valeur particulière dans l`héritage culturel russe. Elle assure la préparation des étudiants dans 27 domaines et regroupe 57 spécialités, ainsi que des boursiers de thèse et des doctorants dans168 spécialités scientifiques, ce qui couvre pratiquement tout le spectre de l`éducation universitaire. De nos jours plus de 40.000 étudiants, boursiers de thèse, doctorants et spécialistes (dans le système de formation permanente) font leurs études à l`Université. En outre, près de 10.000 écoliers sont rattaché à l`Université. La recherche et l`enseignement se passent dans les musées, sur les lieux de stages, dans des centres de formation permanente, à bord de navires de recherche. L`Université Lomonossov est le principal centre scientifique russe au sein duquel ont été formées plusieurs écoles scientifiques, dans lesquelles ont travaillé et travaillent actuellement les lauréats du prix Nobel. Parmi 18 lauréats du prix Nobel, 11 ont été promus ou bien étaient des professeurs de l`Université. 12% de toutes les découvertes réalisées en URSS reviennent aux savants du MGU. L'Université de Moscou est une installation très complexe: elle contient mille bâtiments et édifices dont la surface total est d'environ 1 million de km2, y compris les 8 foyers d'étudiants où plus de 2 mille personnes habitent. Pourtant même ces chiffres impressionnants ne correspondent pas aux exigences du temps, aux tendances contemporaines du développement de la science et de l'enseignement. Aujourd'hui le niveau du développement des recherches scientifiques fondamentales et appliquées, leur nature interdisciplinaire et aussi les objectifs de la formation des spécialistes exigent un développement intensif et une modernisation accrue du matériel technique. En octobre 1987 le gouvernement prit la décision de la construction d'un nouveau ensemble de bâtiments pour l'Université de Moscou, équipés selon les nouveaux critères de la science et la technique modernes. Le projet de l’architecte G.Citovitch prévoyait la construction de nouveaux bâtiments pour les sciences et les études, d’une bibliothèque, d’une piscine, d’un stade, d’un palais de la culture et d'autres bâtiments de repos et de services courants. Le nouveau campus universitaire alla se situer sur l'avenue Lomonossov entre l'avenue Vernadskiy et l'avenue Mitchurinskiy, prolongeant ainsi harmonieusement un ensemble déjà formé. C’est en janvier 2005 que se termina la construction de la Bibliothèque Fondamentale de la MGU et que l’on commença l'édification de deux bâtiments scientifiques et institutionnels ainsi que de la clinique universitaire, qui est appelée à devenir un des grands centres médicaux du XXI siècle. Un énorme potentiel scientifique conjugué à des moyens uniques pour la recherche interdisciplinaires permettent aux savants de l'Université de se concentrer sur les directions les plus innovantes en qualité de pionniers. Ces dernières années ont été marquées par d’importantes découvertes dans le domaine de la physique des hautes énergies, de la superconductibilité des hautes températures, des systèmes du laser, des mathématiques et de la mécanique, des sources renouvelables d'énergie, de la biochimie et de la biotechnique. Dans le domaine des sciences sociales les nouvelles directions de recherches se sont élaborées au contact des questions actuelles de la sociologie, de l'économie politique, de l'histoire, de la psychologie, de la philosophie et de l'histoire des cultures. Chaque année près de 1500 thèses de doctorats et 250 thèses de doctorat d’état concernant diverses branches de connaissances sont soutenues à l'Université de Moscou. Les facultés et les chaires de l'Université prêtent beaucoup d'attention à l'amélioration de la qualité de la formation des spécialistes. Aujourd'hui encore beaucoup d’efforts sont fournis pour renouveler et perfectionner l’enseignement des étudiants et des doctorants. Dans certaines facultés la structure de l’enseignement est divisée en deux niveaux: 4 années avec l’obtention d’un diplôme de Bachelor ou bien 5 années pour poursuivre en Mastère de recherche. Dans les nouveaux programmes d'enseignement on a insisté sur le rôle du travail individuel, le lien avec la pratique et le domaine professionnel du futur promu. De plus, fut créé un centre d'enseignement socio-humanitaire inter-faculté qui enseigne aux facultés des sciences naturelles et sociales l'histoire du pays et du monde, la culture, la philologie, l'économie, le droit et l'art. Par ailleurs, on prête beaucoup d'attention à la santé des étudiants. Pendant les deux premières années d'études deux fois par semaine on prévoit des cours obligatoires de culture physique et de sport. Aux dernières années d'études ces cours peuvent être poursuivis dans des sections sportives et dans des groupes payants. Les étudiants restent à l’Université pendant 5 ou 6 ans, selon la faculté et les études choisies, en couronnant leur formation par un mémoire de fin d’études. Les études à l’Université sont traditionnellement gratuites. Pourtant, avec le développement de l’économie de marché, la situation a changé et, à partir de 1992, on a inscrit 15 % d’étudiants supplémentaires qui payaient leurs cours. L’Etat offre une bourse à ceux qui ont de bons résultats scolaires, et des chambres au foyer pour ceux qui n’habitent pas Moscou. Les promus de l’Université travaillent dans des grandes Ecoles, les Instituts de recherches scientifiques, les Ecoles secondaires, dans les sphères de production et de culture; on les voit aussi dans les organismes d’Etat et dans les organisations sociales ou privées. Selon les statuts universitaires, pour le règlement de leurs problèmes, les étudiants et les boursiers de thèse ont leurs organes représentatifs à l’Université, dont le principal est le Conseil d’Etudiants de l’Université. L’Université Lomonossov a beaucoup de contacts internationaux, elle fait partie de l’Association mondiale des universités, signe des accords directs de coopération avec plus de 60 centres, organisations et universités d’Europe, de l’ USA, du Japon, de Chine et d’autres pays d’Asie, d’Afrique, d’ Australie, d’ Amérique Latine et du monde arabe. A partir de 1946, l’Université fut accessible aux étudiants étrangers. Elle a déjà formé 11 000 spécialistes de 150 pays. Tous les ans, elle reçoit 2 000 étudiants et boursiers de thèse étrangers, et plus de 400 candidats étrangers qui se préparent à passer les examens d’entrée. La coopération étrangère avec les sphères scientifique et technique est aussi une des activités de l’Université qui ne tarit point: élaboration conjointe de problèmes scientifiques, échanges de professeurs, d’enseignants, d’étudiants et de boursiers de thèse se font régulièrement. Annuellement, l’Université ouvre ses portes à plus de 2 000 étrangers pour les séjours d’études de courte durée et envoie à l’étranger à peu près le même nombre d’étudiants et de professeurs. 7. Ecoutez le dialogue. Tâchez de comprendre son contenu. Lisez le dialiogue. Reproduisez-le. Dialogue 1 Monique. - Cristian, es-tu au courant de tout ce qui se passe? Cristian. - Monique, qu’est-ce que tu veux dire? M. - Oh, hier j’ai vu Pierre accompagner un groupe de jeunes Russes. Il travaille comme interprète. C’est chouette! C. - Ce n’est plus une nouvelle. Tout le monde a déjà vu Pierre traduisant du russe en français. Aujourd’hui je l’ai rencontré parlant avec ce Russe qui s’appelle Ivan. Il parle russe parfaitement bien. M. - Quant à moi, j’ai vu Pierre se promener avec une jeune fille russe. Il ne perd pas le temps. C. - Oui, notre ami utilise bien ses connaissances de la langue étrangère. Devoir phonétique: lisez et reproduisez les dialogues en faisant attention aux sons [i-y-u] Dialogue 2 — Et Auguste, tu l'as vu? — Vu et reconnu! — Tu es sûr? — Sûr, absolument sûr, malgré la brume. — La brume? — Mais oui, une brume, lugubre, sans claire de lune … J’ai couru jusqu'à lui, mais je l'ai perdu de vue dans la nuit. Dialogue 3 — Tu es sûr qu'il restera aussi dur, quand je lui aurai parlé? — J'en suis sûr. C'est un pur, et il est aussi dur que ce mur. — Il est peut-être dur, mais moi j'aime les purs, surtout quand ils ont cette allure! Dialogue 4 — C'est Patrick qui a vu que le mur est humide? — C'est bien lui qui l'a vu, mais têtu comme il est, il n'a sûrement rien dit à Julie. — Je le pense aussi. D'abord, parce qu'il est têtu — Mais aussi parce que la nuit, ce mur gris, humide et nu, est si lugubre qu'il donnerait le vertige à Julie. — Le vertige pour un mur humide? Tu es mûr pour l'hôpital psychiatrique, mon pauvre ami! Dialogue 5 — Tu as vu la voiture des Sibourg, après leur accident sur la route de Tours? — Nous n'avons pas vu la voiture des Sibourg, mais nous avons vu celle des deux filles russes qui les suivaient. — Jules nous a dit que les deux roues de la voiture ont basculé par-dessus le mur. — D'après ce que nous avons vu, la voiture des deux russes a aussi fait une chute, et l'une des deux — la rousse, je crois a une double fracture du fémur. — Quant aux Sibourg nous sommes sûrs que leur voiture est fichue, mais eux s'en tirent avec quelques égratignures. On peut dire qu'ils ont eu de la chance! Dialogue 7 — D'où venez-vous? — Nous venons tous du cours de littérature russe. — Ça vous a plu? — Beaucoup! Mais c'est un cours difficile! — Difficile? Mais vous êtes stupides! J'ai toujours entendu dire que ce cours était très facile. — C'est vous qui le dites!
Ecoutez le texte. En employant son lexique décrivez votre cours de français. UNE LEÇON DE FRANÇAIS Pierre est étudiant à l'institut des langues étrangères. Il fait ses études à la faculté de français. Il est en première année. Le français est une langue assez difficile, mais Pierre l'aime beaucoup et, quand on aime une langue, il est plus facile de l'apprendre. Aujourd'hui tous les étudiants sont en classe bien avant l'heure. Certains révisent leur devoir, d'autres bavardent. Debout devant la fenêtre, deux garçons discutent les dernières nouvelles sportives. Un des étudiants ramasse les cahiers et les met sur la table du professeur.Mais voilà qu'on sonne. Les étudiants prennent leurs places. Le professeur entre dans la salle d’études. Les étudiants se lèvent pour le saluer et il leur dit bonjour à son tour. Le professeur ouvre le carnet de groupe et demande: — Tout le monde est-il présent aujourd'hui? — Non, aujourd'hui nous sommes seulement six. Les étudiants Orlova et Smirnov sont absents. Le professeur marque les absences dans le journal et le cours commence. D'abord le professeur rend aux étudiants les devoirs corrigés et leur explique leurs fautes. Ensuite il passe à l'interrogation. Il pose des questions sur la règle étudiée la fois précédente. Le professeur et les étudiants tâchent de parler seulement français. Si les étudiants ne comprennent pas la question du professeur, il la répète plus lentement. Un des étudiants vient au tableau pour écrire la conjugaison du verbe entendre au présent de l'indicatif. Le professeur regarde le tableau et dit: «C'est correct. Vous pouvez prendre votre place». Aujourd'hui il est content des réponses de ses étudiants et leur donne de bonnes notes. Ensuite le professeur explique une nouvelle règle de grammaire. Il parle des pronoms personnels et donne beaucoup d'exemples. Les étudiants - écoutent attentivement ses explications. Le professeur pose des questions sur la nouvelle règle et on fait, des exercices au tableau. Ensuite on lit et on traduit la deuxième partie du texte. Les étudiants lisent lentement, ils tâchent de bien prononcer tous les mots. Quelques minutes avant la sonnerie, qui annonce la pause, le professeur dit aux étudiants de noter le devoir.
Commentaires: Il est en première année. — Oí ó÷èòñÿ íà ïåðâîì êóðñå quand on aime une langue — êîãäà ëþáèøü ÿçûê il est plus facile — ëåã÷å bien avant l'heure — çàäîëãî äî íà÷àëà (çàíÿòèé) quelques minutes avant la sonnerie, qui annonce la pause — çà íåñêîëüêî ìèíóò äî çâîíêà, êîòîðûé âîçâåùàåò î ïåðåìåíå. 8. Apprenez la règle de grammaire: Ïîèñê ïî ñàéòó: |
Âñå ìàòåðèàëû ïðåäñòàâëåííûå íà ñàéòå èñêëþ÷èòåëüíî ñ öåëüþ îçíàêîìëåíèÿ ÷èòàòåëÿìè è íå ïðåñëåäóþò êîììåð÷åñêèõ öåëåé èëè íàðóøåíèå àâòîðñêèõ ïðàâ. Ñòóäàëë.Îðã (0.057 ñåê.) |