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Lisez et traduisez le texte en vous servant du dictionnaire. Faites le vocabulaire sur le sujet de conversation “Biographie
Claude Lévi-Strauss. Biographie Enfance et formation. Claude Lévi-Strauss, issu d'une famille intellectuelle, artistique notamment de tradition musicale et juive d'origine alsacienne, des environs de Strasbourg, est né à Bruxelles de parents français. Il est le fils de Raymond Lévi-Strauss, artiste peintre, et d’Emma Lévi. La famille réside à Paris. Son père était un peintre portraitiste, qui fut ruiné par l'arrivée de la photographie. Son grand-père maternel, avec qui il a vécu lors de la Première Guerre mondiale, était le rabbin de la synagogue de Versailles. Il est aussi l'arrière-petit fils d'Isaac Strauss, chef d'orchestre à la cour sous Louis-Philippe, puis sous Napoléon III. Il s'installe à Paris dans le 16-e arrondissement pour suivre ses études secondaires, d'abord au lycée Janson-de-Sailly puis au lycée Condorcet. À la fin de ses années de lycées, il rencontre un jeune socialiste d'un parti belge et s'engage alors à gauche. Il découvre rapidement les références littéraires de ce parti qui lui étaient jusqu'alors inconnues, incluant Marx. Il est ensuite militant au sein du S.F.I.O., chargé d’animer le Groupe d’Études Socialistes, puis d'assumer le rôle de Secrétaire Général des Étudiants socialistes. Il poursuit ses études à la Faculté de droit de Paris, où il obtient sa licence, avant d'être admis à la Sorbonne. Il y est reçu troisième à l'agrégation de philosophie en 1931 (il obtiendra un doctorat ès lettres en 1948). Si ses activités militantes cessent après son départ pour le Brésil, Claude Lévi-Strauss a failli faire une carrière politique. Missions ethnographiques et premières fonctions académiques Après deux ans d'enseignement de la philosophie au lycée Victor-Duruy de Mont-de-Marsan et au lycée de Laon, le directeur de l'École normale supérieure, Célestin Bouglé, lui téléphone pour lui proposer de devenir membre de la mission universitaire au Brésil, en tant que professeur de sociologie à l'université de São Paulo, où il enseigne de 1935 à 1938. C'est ce coup de téléphone qui a décidé de la vocation ethnographique de Lévi-Strauss, expliquera ce dernier dans Tristes Tropiques. De 1935 à 1939, il organise et dirige plusieurs missions ethnographiques dans le Mato Grosso et en Amazonie. «L'ethnologie jette un pont entre psychanalyse et marxisme d'un côté, géologie de l'autre. Lévi-Strauss a trouvé la science dans laquelle se marient toutes ses passions antérieures» écrit son biographe Denis Bertholet. En 1938, il traverse l'État du Mato Grosso. Il part de Cuiabá, une ancienne ville pionnière de chercheurs d'or, à bord de sa Ford 34. À partir de Diamantino, il suit avec des chars à boeufs une ligne télégraphique qui traverse le cerrado, une brousse à la végétation très dense. Il rencontre les Nambikwara dont il rapporte une documentation fournie et 200 photos, puis les indiens Mundé et Tupi Kawahib dans l'État du Rondônia. Toutes ces missions auprès de populations indiennes lui permettent de réunir les premiers matériaux qui seront à la base de sa thèse sur Les Structures élémentaires de la parenté, soutenue en 1949. De retour en France à la veille de la guerre, il est mobilisé en 1939-1940 sur la ligne Maginot comme agent de liaison, puis affecté au lycée de Montpellier, après sa révocation en 1940 en raison des lois raciales de Vichy. Il quitte la France en 1941 pour se réfugier à New York, alors haut lieu de bouillonnement culturel, où il enseigne à la New School for Social Research ]. La rencontre avec Roman Jakobson, dont il suit les cours, est décisive sur un plan intellectuel. La linguistique structurale lui apporte les éléments théoriques qui lui faisaient jusqu'à présent défaut pour mener à bien son travail d'ethnologue sur les systèmes de parenté. Il est engagé volontaire dans les Forces françaises libres et affecté à la mission scientifique française aux États-Unis. Il fonde avec Henri Focillon, Jacques Maritain, Jean Perrin et d'autres l'École Libre des Hautes Etudes de New York en février 1942. L'apogée scientifique. Rappelé en France en 1944 par le ministère des Affaires étrangères, il retourne aux États-Unis en 1945 pour y occuper les fonctions de conseiller culturel auprès de l'ambassade de France. Il démissionne en 1948 pour se consacrer à son travail scientifique. En 1949, il publie sa thèse Les Structures élémentaires de la parenté [6]. Cette même année, il devient sous-directeur du musée de l'Homme, puis directeur d'études à l'École pratique des hautes études, chaire des religions comparées des peuples sans écriture. Il publie en 1955 ce qui reste son livre le plus célèbre, Tristes Tropiques, livre qui, à mi-chemin de l'autobiographie, de la méditation philosophique et du témoignage ethnographique, connait un énorme succès public et critique: de Raymond Aron à Maurice Blanchot, de Georges Bataille à Michel Leiris, de nombreux intellectuels applaudissent à la publication de cet ouvrage qui sort des sentiers battus de l'ethnologie. Avec la publication de son recueil d' Anthropologie structurale en 1958, il jette les bases de son travail théorique en matière d'étude des peuples premiers et de leurs mythes. En 1959, après deux échecs, il est élu professeur au Collège de France, chaire d'anthropologie sociale, qu'il quitte à sa mise à la retraite en 1982 (il pèse de tout son poids pour que Françoise Héritier, sa collaboratrice de longue date, lui succède). Parmi les mandarins de l'Université, seul Georges Gurvitch ne voit pas d'un bon œil cette élection de Lévi-Strauss mais, explique Denis Bertholet, «Lévi-Strauss n'a plus aucune raison de s'expliquer avec son concurrent». À l'été 1960 est mise en place la structure d'un laboratoire d'anthropologie sociale qui relève à la fois du Collège de France et de l'École pratique des hautes études. Il obtient de Fernand Braudel que le seul exemplaire européen des Human Relations Area Files (en) produit par l'Université Yale soit confié au nouveau laboratoire ce qui fait de cette nouvelle structure «avant même d'avoir lancé recherches et missions [...] un centre de référence en matière ethnographique». Il fonde en 1961 avec Émile Benveniste et Pierre Gourou la revue L'Homme qui s'ouvre aux multiples courants de l'ethnologie et de l'anthropologie, et cherche à favoriser l'approche interdisciplinaire. Du début des années 1960 au début des années 1970, il se consacre à l'étude des mythes, en particulier sur la mythologie amérindienne. Ces études – les Mythologiques – donnent lieu à la publication de plusieurs volumes dont le premier, Le Cru et le Cuit, paraît en 1964. C'est à cette époque que le milieu intellectuel, dont Les Temps Modernes, commence à faire entendre des critiques sur la pensée de Lévi-Strauss. Mais c'est également, à partir de 1970, l'époque où son œuvre commence à être étudiée pour elle-même avec la publication de Claude Lévi-Strauss. The Anthropologist as a Hero par les presses du MIT et du livre que lui a consacré l'anthropologue britannique Edmund Leach. Il donne de nombreux entretiens à la presse grâce auxquels, selon Denis Bertholet, il peut présenter «sous une forme vulgarisée les idées qui lui tiennent à cœur» et à ce titre, «dans les années 1960, avant que l'écologie ne devienne une idéologie et un parti Lévi-Strauss, par ses vues distantes et sévères, lui a sans doute donné, hors de tout effet de pathos, sa formulation la plus radicale». Il est élu en mai 1973 à l'Académie française. Comme le veut la tradition, il fait l'éloge de son prédécesseur, Henry de Montherlant, et Roger Caillois prononçant – à la demande de Lévi-Strauss – le discours de «réponse» en profite pour lancer «une série de flèches empoisonnées» sur sa méthode et ses présupposés scientifiques. Son entrée à l'Académie française suscite autant d'interrogations au sein de la Coupole que parmi ses amis et collaborateurs. Lévi-Strauss poursuit ses recherches sur la mythologie: Myth and Meaning (1978), La Potière jalouse (1985), et enfin Histoire de Lynx (1991) qui clôt un travail entamé quarante ans plus tôt. Dernières années À partir de 1994, Claude Lévi-Strauss publie moins. Il continue toutefois à donner régulièrement des comptes rendus de lecture pour L'Homme. En 1998, à l'occasion de son quatre-vingt-dixième anniversaire, la revue Critique lui dédie un numéro spécial dirigé par Marc Augé, et une réception a lieu au Collège de France. Lévi-Strauss évoque sans détour la vieillesse et déclare notamment: «[il y a] aujourd'hui pour moi un moi réel, qui n'est plus que le quart ou la moitié d'un homme, et un moi virtuel qui conserve encore une vive idée du tout. Le moi virtuel dresse un projet de livre, commence à en organiser les chapitres, et dit au moi réel: "C'est à toi de continuer." Et le moi réel, qui ne peut plus, dit au moi virtuel: "C'est ton affaire. C'est toi seul qui vois la totalité." Ma vie se déroule à présent dans ce dialogue très étrange.» Il donne pour un numéro de L'Homme d'avril-septembre 2002 consacré à «La question de parenté» une postface dans laquelle il se félicite de constater que les lois et règles de fonctionnement qu'il a mises au jour «restent au cœur des travaux contemporains» selon l'expression de Denis Bertholet. Au début de l'année 2005, lors d'une de ses dernières apparitions à la télévision française il déclare, reprenant en des termes très proches un sentiment qu'il avait déjà exprimé en 1972 (entretien avec Jean José Marchand) et en 1984 (entretien avec Bernard Pivot): «Ce que je constate: ce sont les ravages actuels; c'est la disparition effrayante des espèces vivantes, qu'elles soient végétales ou animales; et le fait que du fait même de sa densité actuelle, l'espèce humaine vit sous une sorte de régime d'empoisonnement interne —-si je puis dire—- et je pense au présent et au monde dans lequel je suis en train de finir mon existence. Ce n'est pas un monde que j'aime». En mai 2008, une partie de son œuvre est publiée dans la Bibliothèque de la Pléiade. Le 28 novembre 2008, à l'occasion de son centenaire, de nombreuses manifestations sont organisées. Le Musée du quai Branly lui dédie une journée au cours de laquelle, devant une affluence record, des écrivains, des scientifiques et des artistes lisent un choix de ses textes. L'Académie française l'honore également, le 27 novembre, en fêtant le premier académicien centenaire de son histoire. La BNF organise une journée au cours de laquelle les visiteurs découvrent les manuscrits, les carnets de voyages, les croquis, les notes, et même la machine à écrire, de l'anthropologue. Le Président de la République, Nicolas Sarkozy, se rend au domicile parisien de Lévi-Strauss en compagnie d'Hélène Carrère d'Encausse pour s'entretenir avec lui de «l'avenir de nos sociétés». La ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, Valérie Pécresse, annonce pour son centenaire la création d’un Prix Claude Lévi-Strauss, d’un montant de 100 000 euros, qui viendra récompenser à partir de juin 2009, et chaque année, le «meilleur chercheur» dans les disciplines telles que l’histoire, l’anthropologie, les sciences sociales ou l'archéologie.
7. Ecoutez la poésie. Tâchez de comprendre son contenu. Apprenez-la par coeur. Savants français
Devoir phonétique: lisez et reproduisez les dialogues en faisant attention au son [ø] Dialogue 1 ― Je veux faire du feu avec eux. ― Du feu? Tu veux faire du feu? C'est sérieux? ― Bien sûr, un peu par jeu, pour le plaisir des yeux et un peu parce que je suis frileux. ― Oui, mais du feu près de ces meules, c'est dangereux! ― Je peux faire du feu où tu veux! Dangereux... Dangereux. c'est fou ce que tu es peureux! ― Si je suis peureux, toi tu es frileux! Ça ne vaut guère mieux! ― Tiens, voilà qu'il pleut! Il vaut mieux que nous quittions ces meules tous les deux, mon vieux. Nous n'avons décidément rien des valeureux preux moyenâgeux! Dialogue 2 ― Je peux partir avec eux? ― Si tu veux, mais attends un peu! D'ailleurs ils retournent chez eux! ― Attends un peu... Attends un peu... Qu'est-ce que ça veut dire? Deux minutes? Deux heures? Deux jours? Tu sais que je les vois très peu et que le neveu de Romieux est déjà chez eux. ― Le neveu de Romieux fait ce qu'il veut! ― II est heureux, le neveu de Romieux. ― Ecoute un peu! Tu ne vas pas me faire croire que tu es malheureux!
8. Apprenez la règle de grammaire: Imparfait
Imparfait обозначает прошедшее незаконченное действие, начало и конец которого не указаны, и выражает одновременность по отношению к прошлому. Соответствует русскому прошедшему времени глагола несовершенного вида: Il dînait toujours à la même heure. – Он обедал всегда в одно и то же время.
Imparfait употребляется:
1. Для обозначения обычного, повторяющегося действия: Chaque dimanche nous allions à la campagne. – Каждое воскресенье мы уезжали за город. 2. Для обозначения одновременности действий: a) двух действий, протекающих параллельно: Pendant que maman préparait le petit déjeuner, j’habillais les petits. – Пока мама готовила завтрак, я одевал малышей. b) Действия, продолжающегося в момент начала другого действия: Quand je suis revenu, il était six heures. – Когда я вернулся, было шесть часов. 3. В описаниях: C’était en été. Il faisait chaud. Nous étions sur la plage. – Это было летом. Стояла жаркая погода. Мы находились на пляже. 9. Faites des exercices par écrit: I. Justifiez l'emploi de l'imparfait: 1. L'appartement se trouvait au deuxième étage. 2. D'habitude nous passions le temps ensemble. 3. Elle était belle, elle était intelligente et elle aimait le risque. 4. Tous les matins Bruno partait à l'école avec les yeux pleins de sommeil. 5. C'était un homme qui savait ce qu'il voulait. 6. Chaque année nous partions en vacances sur la côte bretonne. 7. Alexandra portrait une robe très collante et un superbe collier de diamants. 8. Mme Michelet savait que la fille lui mentait. 9. Chaque soir Martine faisait la soupe à l'oignon. 10. Mr Dumont était plutôt grand et il avait les yeux verts. 11. D'habitude Francis sortait son chien à 7 heures du matin. Souvent il faisait le tour du jardin et toujours son chien aboyait quand il voyait le chat de Mme Michon.
ІI. Traduisez les phrases suivantes en russe et expliquez l'emploi de l'Imparfait: 1. La vie semblait arrêtée; les boutiques étaient closes, la rue muette. Quelquefois un habitant intimidé par ce silence, filait rapidement le long des murs (G. de Maupa ssant). 2. Dans les derniers jours de mai 1793, un des bataillons parisiens amenés en Bretagne fouillait le redoutable bois de la Saudraie. On n'était pas plus de trois cents, car le bataillon était décimé par cette rude guerre (V. Hugo). 3. Une énorme lune nageait au-dessus des peupliers sans feuilles et rendait le ciel si clair que les moindres branches s'y dessinaient et que la Loire, au-delà du tournant, n'était qu'un grouillement de paillettes argentées (G. Simenon). 4. Je venais là presque tous les matins. Je m'asseyais sur un banc et je lisais. Parfois je laissais retomber le livre sur mes genoux pour rêver et jouir du repos infini de ces charmilles à la mode ancienne (G. de Maupassant). III. Mettez les verbes entre parenthèses à l'imparfait. Traduisez les phrases: 1. Vous (sortir) toujours à la même heure? 2. Nous (longer) la rivière. 3. Elle (pâlir) et (frémir) à chaque coup de vent. 4. A sept heures du soir toute la famille (se mettre) à table. 5. Pour arriver à l'Université, ils (prendre) toujours l'autobus. 6. Je (attendre) mon camarade en me promenant dans le jardin. 7. En été nous (faire) beaucoup d'excursions à la campagne. 8. Tu (venir) souvent chez moi pendant ton séjour à Leningrad. 9. Ils ne (pouvoir) pas venir parce qu'ils (être) occupés. 10. Je (se baigner) tous les jours quand je (être) à la campagne. 11. Comme il (faire) mauvais temps, nous ne (vouloir) pas sortir. 12. Mon frère (répondre) toujours immédiatement aux lettres qu'il (recevoir). 13. Le soir vous (lire) souvent à haute voix, vous (avoir) des manières d'un véritable acteur et nous vous (écouter) avec admiration.
IV. Traduisez: 1. Когда я был в этом городе, я каждый вечер ходил в библиотеку, где было много интересных журналов. 2. На последнем занятии преподаватель нам диктовал, а мы писали. 3. Что вы делали по вечерам, когда жили на берегу моря? 4. Он всегда вставал очень рано и шел купаться на озеро, которое находилось около самого дома. 5. У нее были красивые белокурые волосы и черные глаза. 6. Вчера была хорошая погода, было не холодно, мы гуляли по парку и любовались закатом. 7. Когда я был болен, я спал очень плохо, я просыпался среди ночи и не мог больше заснуть. 8. Было уже очень поздно, небо было покрыто тучами, и мы искали дорогу в полной темноте. 9. Все знали этого старика с длинными седыми волосами, который проходил каждый день мимо нашего дома. 10. Время от времени молодой человек снимал очки, чтобы протереть стекла, и на несколько мгновений он казался слепым.
10. Faites les devoirs du test et corrigez-vous vous-même: 1. Tu ________toujours de honte a) rougais b) rougissais c) rougeais d) rougissait 2. De sa fenêtre on _______tout Paris a) voiais b) voyait c) voyions d) voient 3. ________-vous souvent à la campagne pendant les vacances? a) allaient b) allions c) alliez d) allais 4. Chaque année nous _______ en vacances sur la côte bretonne a) partions b) partissions c) partiez d) partait 5. Il nous _________ souvent de la guerre a) parlait b) parlions c) parliez d) parlaient 6. A l'est une ligne rosé _______ le soleil a) annoncais b) annonçait c) annonçais d) annoncions 7. Bertrand _________ comme quatre. a) mangeait b) mangiez c) mangeais d) mangeaient
Chapitre 10 Conversation: ma journÉe de travail Audition/phonétique/parole: Mon temps libre. Dialogues Grammaire: opposition imparfait et Passé composé Lecture/comptes rendus: La journée d’un SorbonnardLecture/traduction: La couverture de la campagne électorale vue d'un car de la presse
1. Lisez le texte: Ma journée de travail.
Ma journée de travail commence assez tôt. Je me réveille à six heures du matin et je me lève tout de suite. D’abord je vais dans le salle de bain où je fais ma toilette matinale: je me brosse les dents, (je me rase), je me lave avec de l’eau chaude, je me peigne. Maintenant je suis prêt pour prendre mon petit déjeuner. Mais, malheureusement, c’est moi qui dois le préparer. Je fais vite une omelette, des tartines. D’habitude je prends le matin une tasse de café ou de thé. Le petit déjeuner terminé, je m’habille, je me chausse et je quitte ma maison pour aller à l’Université. Si je prends l’autobus mon trajet me prend un quart d’heure, mais aujourd’hui j’ai décidé de ne pas me dépêcher et je suis allé(e) à pied. Les cours à l’Université commencent à huit heures moins le quart, je ne suis pas en retard. Toute la journée je suis très occupé - pas une seule minute libre: il faut suivre les cours, travailler au centre de calcul, il est nécessaire de temps à autre d’aller à la bibliothèque ou dans la salle de lecture. Après les cours j’ai beaucoup à faire. Chemin faisant, je fais les commissions. Quand je suis chez moi tout d’abord je me prépare le déjeuner, je mange et enfin je me mets à faire mes devoirs. Si j’ai quelque temps libre j’aime le passer avec mes amis; on se promène ou on va au théâtre, au cinéma. De longues soirées d’automne ou d’hiver je préfère restez chez moi en compagnie de mes livres et mes disques. D’habitude je me couche à minuit, avant de m’endormir je lis quelques pages.
2. Répondez aux questions sur le texte: 1. A quelle heure vous réveillez-vous d’habitude? 2. Vous vous levez tout de suite ou vous faites la grasse matinée? 3. Combien de minutes vous prend votre toilette matinale? 4. Qui vous prépare le petit déjeuner? 5. Quel moyen de transport prenez-vous pour aller à l’Université? 6. Que faites-vous à l’Université? 7. A quelle heure commencent et finissent les cours à l’Université? 8. Combien de cours avez-vous par jour? 9. Que faites-vous après les cours? 10.Comment préférez-vous passer vos soirées? 11. A quelle heure vous couchez-vous? 3. Lisez le texte et rеmplissez les lacunes par les mots ci-dessous: La journée d’un Sorbonnard La Sorbonne, vieille université _______ au coeur du Quartier ______ à Paris, jouit d’une réputation internationale. Vision d’un étudiant qui la fréquente au quotidien. Olivier traverse à grands pas la Cour d’Honneur _____ la Sorbonne où les statues de Pasteur et Victor Hugo veillent sur les «sorbonnards» réunis dans ce grand lieu de rendez-vous des ______. Il jette un coup d’oeil sur la pendule de la Chapelle de la Sorbonne pour s’apercevoir qu’il n’a que 5 minutes pour trouver l’amphithéatre Michelet. Etudiant en licence d’Histoire, Olivier va assister ______ premier cours dans un amphi du centre historique de la Sorbonne, au Quartier latin. Cela fait trois ans qu’il est inscrit à la Sorbonne, mais les cours des deux premières années d’histoire sont dispensés dans un centre de l’université situé au _____ de Paris, fort loin du Quartier latin. «Quand je suis arrivé, j’étais très déçu de ne pas avoir cours dans les _______ bâtiments de la vielle Sorbonne», se souvient Olivier. Les quatre Sorbonne. L’Université de la Sorbonne est une grande machine qui n’a plus grande chose à voir avec le Collège de théologie ______ en 1257 par Robert de Sorbon pour accueillir seize étudiants démunis. Aujourd’hui les bâtiments du centre historique de la Sorbonne, reconstruits au XVIIIe siècle sur l’ordre du cardinal Richelieu et réaménagés encore en 1901 par l’architecte Nenot, sont ______ trop petits. La solution a été d’installer les étudiants dans des centres annexes à la vieille Sorbonne. Dites plutôt «les Sorbonnes», car il _____ aussi savoir que l’Université de la Sorbonne regroupe depuis 1970, quatre facultés: Paris I (Panthéon-Sorbonne), Paris III (la Sorbonne Nouvelle), Paris IV (Paris-Sorbonne) et Paris V (René Descartes).Les quatre «facs», forment ainsi un ensemble constitué d’une quarantaine de sites et presque autant de bibliothèques éparpillés dans Paris et region_______, acueillant quelque 110 000 étudiants. Les étudiants parisiens peuvent tout faire ou presque dans une des facs de la Sorbonne: les cursus classiques cohabitent avec des plus exotiques, comme les langues rares, la linguistique ou le théâtre; on peut y devenir médecin ou professeur d’éducation physique, bref, la liste est longue et surtout, très _____. La Sorbonne est également une communauté très diversifiée. Le quotidien d’un étudiant en philosophie n’a rien à voir avec celui d’un futur médecin, et pourtant tous les deux ______ des «sorbonnards». Olivier, lui, a seize heures de cours par semaine, dont deux heures de sport qu’il a choisi de prendre en module. Il a beaucoup de travail personnel à fournir en dehors des heures de cours et, jusqu’à l’année dernière, ______ étiez sûrs de le rencontrer à la bibliothèque du centre de Clignancourt. «J’attends avec impatience de recevoir ma carte d’étudiant pour pouvoir finalemet m’inscrire à la ______ bibliothèque de la Sorbonne, située dans les bâtiments de la vieille Sorbonne», dit-il. En effet, faute de place, cette bibliothèque inter-universitaire n’accueille que les étudiants à partir de la licence.Quant il ne révise pas, Olivier rencontre ses copains dans les ______ qui sont à la proximité de la Sorbonne. Le Bombardier, le Duc et le Reflet sont ses préférés, car les moins ______. «Je vais de temps en temps aux cafés qui sont sur la place de la Sorbonne, mais je ne trouve pas le cadre là-bas très sympa. En plus, ils sont souvent pleins», raconte-t-il. La plupart du temps, il croque un sandwich entre deux cours à midi. «Je n’ai jamais plus d’une heure pour manger à midi, ce qui ne me laisse pas le ______ de me rendre à un des restaurants universitaires de quartier et d’affronter la queue...» Le mythe de la Sorbonne. Comme 54% des étudiants, Olivier vit chez ses parents. Quand il fait beau, il se rend à la Sorbonne en roller ou à vélo. Branché sur l’internet, il est contre le manque des moyensinformatiques de cette ______ université. livier reconnait cependant, que la réputation de la Sorbonne rayonne encore en France et dans le monde. «Quand je dis que j’étudie à la Sorbonne, les gens ouvrent les yeux et sont _____ impressionnés...», témoignent plusieurs «sorbonnards». Alors, est-ce vraiment meilleur qu’ailleurs? «Je n’_____ pas d’éléments de comparaison, mais je trouve que les enseignements sont de qualité. De bons professeurs, parfois très médiatisés, donnent les cours ici», raconte Olivier. «Je me rappelle qu’un grand professeur nous conseillait de valider notre cursus par des stages. Il _____ suffit plus d’aller à la fac, aussi bonne soit-elle, pour réussir dans la vie professionnelle. Un étudiant à la Sorbonne devra se battre plus tard comme tout le monde», dit Olivier. Une certitude donc, à la Sorbonne comme ailleurs, on ne réussit pas sans une réelle motivation. Paula Tsanaclis (Le français dans le monde, № 312)Variée, située, temps, grande, latin, faut, chers, ai, devenus, ne, cafés, son, de, sont, nord, étudiants, parisienne, vous, beaux, fondé, vieille, très 4. Répondez aux questions: 1. A quelle fac étudie Olivier?2. Quel cycle de ses études universitaires il suit actuellement? 3. Quand a été fondée la Sorbonne, par qui et à l’intention de qui?4. Est-ce que Olivier a toujours fréquenté le bâtiment principal de la Sorbonne?5. Quels cursus sont dispensés dans les facs de la Sorbonne? Est-ce que la liste des filières est variée? 6. Quels sont les horaires hebdomadaires d’Olivier? Est-ce qu’il travaille beaucoup en dehors des cours? 7. Est-ce qu’il a déjà reçu sa carte d’étudiant? 8. A partir de quelle année d’études (de quel cycle) la bibliothèque centrale de la Sorbonne accueille-t-elle les étudiants? 9. Comment Olivier passe ses loisirs? Aime-t-il aller au resto-U? 10. Où il vit? 11. Contre quoi il peste? Comment trouve-t-il les enseignements? 12. Est-ce qu’il suffit d’aller à la fac pour réussir dans la vie professionnelle?13. Est-ce que la vieille Sorbonne est toujours cotée dans le monde?5. Faites le plan du texte et son résumé. 6. Lisez et traduisez le texte en vous servant du dictionnaire. Faites le vocabulaire sur le sujet de conversation “Journée de travail” La couverture de la campagne électorale Поиск по сайту: |
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