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I. Autobiographie en bref
Après avoir passé 9 mois dans les conditions confortables, j’ai décidé de voir comment est notre planète Terre. Le 23 août 1965 à 1 heure de l’après-midi j’ai pris la liberté. La maison d’accouchement se trouvait au centre de Kiev, à côté du batiment rouge de l’Université, à droite, si vous vous mettez face à celle-ci et le dos au monument Taras Chevtchenko. C’était un jour chaud et ensoleillé, un dimanche. A mon apparition au monde autour de moi s’agitaient et couraient des gens inconnus en blouses blanches. Eux tous étaient très préoccupés par une seule chose – pourquoi je ne pleurais pas? Moi à mon tour je ne pouvais point comprendre à quoi sert pleurer? Le monde que j’ai vu à ce moment-là m’a plu en général. Quelques jours après on m’a soigneusement enveloppé en langes propres, emballé en couverture et on a sorti solennellement dans la rue. Mon premier voyage n’était pas long. On m’a apporté dans l’appartement se trouvant rue Pouchkinskaya. Et c’est là que j’ai passé le premier an de ma vie. En 1966 ma Famille a déménagé dans un appartement spacieux rue Karl Marks (à présent rue Architecte Gorodetskiy). Mes parents et mon frère aîné Alexandre ont déménagé avec moi. Mon frère faisait ses études, mes parents travaillaient. Ma mère – Kiritchenko Galina Andronovna enseignait des langues étrangères. Mon père Kudin Viatcheslav Alexandrovitch enseignait l’histoire de la culture, l’éthique et l’esthétique. Dans notre maison il y avait toujours plein de livres – en reliures variées et en plusieurs langues. Les livres étaient partout – sur les étagères, dans les armoires, dans tous les endroits imaginables ou pas de notre appartement. Tous qui venaient chez nous s’étonnaient de la quantité des livres. D’ailleurs, de quoi s’étonner? Mes parents se sont connus à la bibliothèque. Après que j’ai un peu grandi, les parents ont essayé de m’envoyer à l’école maternelle. Cette tentative a quand même échoué. L’école maternelle m’a déplu et j’ai refusé carrément d’y aller. Je me souviens bien que c’était l’hiver, il faisait si froid et si sombre. On me réveillait chaque matin et on m’habillait encore endormi. J’avais très sommeil, mais on continuait à m’habiller et on me sortait dans la rue froide. Après cela je me trouvais dans un local plein d’enfants pleurants comme un oeuf. Mes parents partaient. Il ne restait que des surveillants en blouses blanches. En un mot, une prison. Dès les premières minutes que j’étais à l’école maternelle, j’ai compris qu’il fallait me mettre en grève. Dans mon vocabulaire alors il n’y avait pas de mot “grève”, mais cette idée même me paraissait si naturelle que j’ai refusé net le repas et j’étais couché par terre sans me lever jusqu’au moment où j’ai vu mes parents apparaître à l’horizon. Dans un certain sens, c’était un drôle de mélange de grève de protestation et de celle de la faim. Mes parents et mes éducateurs pensaient que cela passerait, mais ça s’est répété le lendemain et le surlendemain aussi. Cela a duré ainsi jusqu’à ce que mes parents se soient persuadés que mon intimitié par rapport aux murs administratifs – était vraiment sérieuse et pour toujours. J’ai dû avoir quelques scandales, mais je suis quand même arrivé à mes fins – on m’a repris de l’école maternelle. Après cela personne ne m’a dérangeait jusqu’à l’âge de 7 ans. Grâce à l’école maternelle j’ai pris en haine dès le petit les régimes totalitaires, et en général tout ce qui réprime dans la personne. Mes parents partaient au travail, mais je restais seul à la maison ou bien je me promenais dans la cour à côté de la fontaine en face du théâtre Ivan Franko. En prenant en considération mon âge un tel acte de la part des parents était assez courageux. Pas tous les parents laisseront leur enfant se promener seul à l’âge de quatre ans. Quoi que ce soit, mais dans mon enfance je possédais une telle liberté qu’aucun enfant de mon âge se promenant près de notre maison ne connaissait. Et j’ai gardé à jamais ce sentiment surprenant et enivrant de la liberté sans bornes. A quatre ans j’ai appris à lire librement. D’habitude dans notre famille on parlait ukrainien, mais la plupart des livres étaient en russe, voilà pourquoi j’ai commencé sans que je m’en aperçoive à lire en deux langues presque simultanément. A cinq ans on m’a appris à nager. La méthode selon laquelle le père apprenait tous à nager était assez simple – on jetait l’enfant dans l’eau et on ne le sortait que quand il se noyait, après on le jetait de nouveau et ainsi de suite.… Jusqu’à ce que l’enfant cesse de crier d’une voix glapissante et commence à se maintenir plus ou moins sûrement à la surface. A sept ans on m’a envoyé à l’école ¹ 117 de Kiev, se trouvant dans la rue voisine. On dit qu’à cette époque-là c’était une des meilleures écoles de Kiev, dans laquelle le pourcentage de bons professeurs était beaucoup plus élevé que celui de mauvais professeurs. Probablement j’ai eu vraiment de la chance. Mais je ne peux dire qu’une chose – je n’aimais pas l’école et j’ai poussé un soupir de soulagement quand je l’ai terminée 10 ans après. Il y avait deux raisons de mon intimitié envers l’école – premièrement, elle me rappelait vaguement le règlement de prison à l’école maternelle, et deuxièmement, il y avait trop d’hypocrisie. Par exemple, on nous apprenait à détester le capitalisme et ne jurer que par le drapeau rouge. D’ailleurs, c’était pareil dans tout notre pays. Après avoir terminé mes études secondaires en 1982, j’ai porté mes papiers à l’Université et après avoir réussi les examens, je suis entré à ce même bâtiment rouge de l’Université, près duquel j’étais né et dont je n’avais que des meilleurs souvenirs. A présent à Kiev les Universités sont à chaque pas, mais en 1982 on n’en comptait qu’une seule et il était très préstigieux d’y faire ses études. Les meilleurs professeurs de toute l’Ukraine y enseignaient et il était quand même trop difficile de devenir étudiant d’une seule Université dans la capitale. J’ai étudié un an. En 1983 on m’a appelé sous les drapeaux. Normalement, les étudiants n’y étaient pas obligés, mais moi j’ai eu “de la chance”. Au début des années 80 l’Union Soviétique s’est engagée dans la guerre avec Afganistan et il ne suffisait pas de soldat. En d’autres mots, au début des années 80 du siècle passé on appelait sous les drapeaux tous ou presque tous. Les hommes d’Etat essayaient de calmer la population et expliquaient l’appel de masse par la manque des jeunes hommes à l’âge de conscription, par l’apparition d’un trou démographique à cause de n’importe quoi. Je n’ai pas eu le temps de me remettre que je me suis retrouvé dans la région militaire du Caucase du Nord. L’armée a produit sur moi une impression accablante, mais tout de même c’était plus amusant qu’à l’école maternelle. Au moins, tout était très clair et simple. On respectait beaucoup la force physique, et moi je n’étais jamais faible. Comme je n’aimais pas me soumettre dès le petit, et les commandants n’avaient plus qu’à me nommer chef d’un groupe, puis celui d’un peloton et enfin chef d’une compagnie. Venu en armée comme un simple soldat, j’ai quitté mon service comme un commandant de la compagnie en automne 1985.
Pendant deux ans de mon absence, la faculté de philosophie a beaucoup changé. La quantité des étudiants a triplé, la plupart des étudiants était de province dont beaucoup n’ont pas encore compris pourquoi il leur fallait étudier la philosophie. Quoi que ce soit, je suis revenu de l’armée dans ce même bâtiment rouge de l’Université et quatre années suivantes étaient consacrées généralement aux études. La bourse ne suffisait pas, mais je n’avais aucune intention de demander de l’argent aux parents. J’ai préféré trouver un job quand j’étais libre. D’abord j’étais un peu ouvrier de service, après journaliste et entraîneur. Mais tout de même mon occupation principale était les études. Quand il était le temps de choisir ma profession, j’ai choisi sans réfléchir l’histoire de la religion. Ce sujet m’attirait toujours comme un aimant. La chaire d’histoire de la religion était assez petite. Mes collègues étaient joyeux et raisonnables ce qu’on ne pouvait pas dire de la chaire “de communisme scientifique”. A cette période-là j’ai aimé fouiller des archives et je me suis persuadé que si l’on veut savoir son avenir, il faut d’abord apprendre à regarder le passé avec une grande attention. Au printemps de 1989 j’ai terminé mes études supérieures et selon la distribution j’ai été placé à l’Institut pédagogique Dragomanov. Heureusement l’institut se trouvait non loin de l’Université. Et il était très commode d’aller au travail. Le personnel de la chaire de philosophie était tout de même assez bon. Ce qui déplaisait c’est une obligation de remplir des tas de paperasses et donner des lections conformément au programme éducatif qui sentait naphtaline et qui était d’ailleurs fondé sur les principes du marxisme-leninisme. Ce programme causant de l’ennui aux étudiants, je tâchais de m’en écarter un peu. De temps en temps l’administration de l’institut me faisait amicalement revenir sur “un bon chemin” et insistait pour que je donne des cours conformément au programme d’Etat et bien sûr sans désinvoltures. Après avoir travaillé juste un an à l’institut pédagogique, je suis entré en fonction de maître assistant de la chaire de lutte à l’institut de la culture physique. Ayant créé à la chaire de lutte le département des arts de combats chinois WU SHU, au printemps de 1991 j’ai pris le large. Après 1991 mes travaux se succédaient, j’ai changé de profession plus d’une fois. Quoi que je fasse, j’ai toujours voulu que ma vie soit brillante, intéressante et pleine d’émotions. Si on décompose ma vie en parties, les plus grandes parties seront “le business”, “le sport”, “la littérature” (à mon avis, dans ce chapitre on peut inclure ce qui est lié au mot “la science”, “la politique”…) Il y a encore une facette de ma vie dont les journalistes me demandent souvent. C’est ma Famille et ma vie privée. D’habitude je tâche d’éviter toutes les conversations à ce sujet parce que chaque personne à mon avis a le droit d’avoir quelque chose de profondément privé, ce qu’on ne peut pas mettre à l’étalage à la portée de tous. Ma Famille est mon Temple, c’est ce qui remplit de sens ma vie sur la Terre. Et dans mon Temple il n’y a pas de place pour des oisifs et des curieux. Je crois que celui qui a une Famille pourra me bien comprendre. II. Business Richard Wagner a dit: “L’argent c’est la liberté”. Un autre grand Allemand Erich Maria Remark a ajouté: “L’argent c’est la liberté forgée en or”. Quelques personnes de ma connaissance me croient businessman, d’ailleurs très réussi. Probablement, ils en ont raison. L’argent m’était nécessaire pour me sentir libre et indépendent dans ce monde, pour me réaliser au maximum sur la Terre. L’argent n’était jamais pour moi la fin en soi et mes moyens financiers avaient peine à suivre mes rêves, mes désirs et mes aspirations… Voilà pourquoi je ne suis pas arrivé à mettre de côté de l’argent comme la plupart des personnes de mon âge. J’ai déjà mentionné mon activité de travail pendant mes études à l’Université. C’était très instable et à temps partiel. En effet, le job le plus constant dans une période d’étudiant était mon poste de reporter dans un journal “Vetcherniy Kiev”. Pendant six mois je rédigeais héroïquement la colonne dans le journal susnommé. Mon petit article sur la télévision et l’art de cinéma paraissait une fois par semaine. J’ai déjà dit quelques mots sur l’institut pédagogique et celui de la culture, mais je doute qu’on puisse appeler ce travail le business. En enseignant le matin et l’après-midi dans les Écoles supérieures susnommées, le soir j’avais un travail supplémentaire en qualité d’entraîneur à la société sportive “Dynamo”. D’abord je dirigeais la section de WU SHU, puis avec les adhérents j’ai organisé l’école sportive WU SHU. Les années ultérieures dans la lutte pour le papier-monnaie, j’ai dû rouler ma bosse dans plusieurs structures commerciales, et comme résultat je suis devenu un assez bon manager. A partir de 1992 à 1995 j’ai été président du Conseil des Directeurs à la “Première Compagnie internationale d’assurance”. Pendant trois ans incomplets que j’ai passé à la compagnie d’assurance, elle était tout le temps ébranlée par les tremblements de portée locales. On apprenait à faire du business, on se disputait et on se réconciliait, on faisait des fautes et on les corrigeait. On s’avançait essentiellement par intuition, d’ailleurs comme tout le pays qui du socialisme a soudain décidé de passer sur les rails capitalistes, au capitalisme qu’on nous apprenait à détester dès l’enfance pendant la période du “socialisme développé”. En 1995 après une réorganisation suivante de la compagnie d’assurance, j’ai occupé le poste du vice-président à la compagnie de navigation aérienne "Vita" et j’y ai travaillé avec des interruptions insignifiantes jusqu’à 2001. En 1995 dans les murs de l'Institut de la philosophie j'ai soutenu ma thèse sur l'histoire de la religion. Ma thèse ne se rapporte pas au paragraphe le "business", mais, en étant repoussé de la chronologie des événements, j'ai décidé d’en parler ici. J’ai travaillé ma thèse quelques ans, et sa soutenance est devenue pour moi un bilan final, comme le résultat du travail fait. En mai 2001 on m’a invité à travailler au centre commercial Petcherskiy. D'abord comme le vice-président du conseil d'administration, mais puis (dès le juillet 2001) - le Président du conseil d'administration. En avril 2003 le délai de mon contrat a expiré, et j’ai quitté le commerce, m’étant définitivement persuadé que moi et le commerce – ce sont les notions incompatibles. Après le mois d’avril 2003 je jouais le rôle du manager et du consultant dans quelques petits projets commerciaux, j’aidais mes amis dans leur travail, je faisais de l’activité scientifique en travaillant comme chef du département de sociologie à l’Institut des relations sociales et culturelles de Kiev. En 2004 j’ai travaillé quelques temps au Ministère des finances comme sous-directeur du combinat polygraphique “Ukraine”. Le business seul si on en fait professionnellement est une chose assez intéressante, pourtant si j’avais assez d’argent je ne perdrais jamais ma vie sur cela. Extrait de l’interview d’Andrew V. Kudin donné par lui à l’hebdomadaire ukrainien d’affaires “Galitskiy Kontrakti” en novembre 2000 7. Ecoutez les dialogues. Tâchez de comprendre leurs contenus. Lisez les dialiogues. Reproduisez-les. Devoir phonétique: lisez et reproduisez les dialogues en faisant attention au son [ ] Dialogue 1 ― Paul, sonne la bonne. ― Je sonne et je resonne, mais la bonne est sortie. "t^t^ ― Sortie par quelle porte. La grande porte est encore fermée. ― Tu sais bien que la bonne sort toujours par la porte qui donne sous la tonnelle. ― Je croyais que personne ne sortait par cette porte. ― Personne, en effet, excepté la bonne. Et je trouve qu'on a tort. Cette porte est commode et elle donne sur le port. ― Oui, mais tu sais, le port, c'est assez monotone. Dialogue 2 ― J'aime bien cette vallée de la Dordogne. Je la trouve moins monotone que la Sologne. ― Monotone la Sologne? Demande à Paul ou à Victor. Ils adorent la Sologne. ― Je n'ai rien contre la Sologne, mais quand je remonte la Dordogne avec mon hors-bord, ça me transporte. ― Bien sûr que ça te transporte! un hors-bord, c'est fait pour le transport! ― Ah, c'est fort! Moi, je te dirai qu'un hors-bord n'est pas fait pour le transport, mais tout simplement pour le sport, quand on aime les émotions fortes. ― Tu ne trouves pas que cette discussion sur la Dordogne, la Sologne et les transports en hors-bord est un peu idiote? Dialogue 3 ― C'est rigolo cette eau glauque qui dort près de la geôle du château. ― L'eau qui dort, le château-fort, les volets clos, la geôle... Tu trouves ça rigolo? Moi, je rêve de fantômes qui rôdent et qui sortent en claquant les portes... Je rêve au vent du Nord qui mord comme un bouledogue... Je rêve de corps qui flottent au bout d'une corde... ― Mon pauvre Paul, tu supportes bien mal l'énorme bol de haricots en sauce qu'Isidore t'a fait avaler! Ça te donne des cauchemars! ― Tu n'as pas de cauchemars, toi? Tu es vraiment très fort! Comme Isidore, d'ailleurs, qui dort encore, étendu comme un mort. ― Mais, ma parole, on t'a jeté un sort! Tu ne parles que de mort, de fantômes, de vent qui rôde, de bouledogue qui mord... ― Mais non, dans mon cauchemar, c'est le vent qui mord, pas le bouledogue! ― Ecoute, Paul, promets-moi de boire un peu moins de porto, quand Pierrot et Isidore nous emmèneront encore au château de nos amis corses! 8. Apprenez la règle de grammaire: Passe compose Ïîèñê ïî ñàéòó: |
Âñå ìàòåðèàëû ïðåäñòàâëåííûå íà ñàéòå èñêëþ÷èòåëüíî ñ öåëüþ îçíàêîìëåíèÿ ÷èòàòåëÿìè è íå ïðåñëåäóþò êîììåð÷åñêèõ öåëåé èëè íàðóøåíèå àâòîðñêèõ ïðàâ. Ñòóäàëë.Îðã (0.013 ñåê.) |